CLARK KENT : SUPERMAN t.0-6 (Brian Michael Bendis / collectif)

Les lectures ou relectures récentes de productions britanniques m’ont amené à penser que pas mal de choses ont infusé chez les Anglais (au sens large, donc) avant de trouver des déclinaisons chez les Américains. Et ça dépasse Vertigo, qui est la partie émergée de l’iceberg.
Par exemple, ma lecture de Judge Dredd: Necropolis m’a conduit à envisager que l’épopée peut être lue comme un galop d’essai à la fois de No Man’s Land et de Blackest Night. Et je pense qu’on peut étendre la réflexion à plus large. Un peu comme si 2000AD, sous ses airs irrévérencieux et à cause de son éloignement éditorial, était une sorte de section « recherche et développement » du genre super-héroïque.
J’en suis là de mes réflexions, hein, donc pas bien loin, mais j’ai parfois l’impression que le « test des limites » si nécessaire à l’évolution d’un genre s’effectue en Angleterre.

Jim