COMMENT ÉLEVER UN SUPER-HÉROS (Saisons 1-2)

Un jeune garçon luttant pour maîtriser ses pouvoirs nouvellement acquis. Une mère célibataire prête à tout pour assurer la sécurité de son fils. Une famille entourée de secrets, de complots et de mystères… « Comment élever un super-héros », le 4 octobre, seulement sur Netflix.

jpg-r_1920_1080-f_jpg-q_x-xxyxx

CREATRICE

Carol Barbee

DISTRIBUTION

Alisha Wainwright, Ja’siah Young, Michael B. Jordan…

INFOS

Série américaine
Genre : drame/science-fiction
Titre original : Raising Dion
Diffusion : 4 octobre sur Netflix
Format : 10 x 52 mn

Tiens c’est pris avec un prisme assez original je trouve

C’est pourtant facile, tu lui apprends qu’un grand pouvoir implique de grandes responsabilités…

                                     THE END

Ahahah c’est p’tet une série en 5 minutes xD

Et tu clamses juste après

Merci, de rien, au revoir messieurs-dames.

Série renouvelée pour une seconde saison.

Série annulée après 2 saisons.

Ca alors comme c’est étonnant
(Netflix la chaine des mini-séries)

Il y a plus d’arrêt après une première saison sur Netflix que sur d’autres chaines standard ?
Ca me semblait dans le même type d’ordre, peut-être un peu plus, car il y a un besoin permanent de nouveautés comparé à une chaine traditionnel. Mais il ne me semblait pas tant que ça non plus.

Pas une mais deux saisons. Il me semble que oui mais je n’ai plus les chiffres en tête.

Après c’est surtout une question d’environnement économique. Un service de SVOD, Netflix surtout, doit avoir en permanence de la nouveauté pour avoir des nouveaux abonnés et ne peut donc compter sur des séries établies pour cela. Cela influe leur politique éditoriale (de fait on ne finance et ne produit que 2 saisons volontairement) et on est donc plus sur une logique de mini-série que de séries classique. Si ça continue faut vraiment que ça cartonne en terme médiatique parce qu’à partir de là faut d’avantage payer les créateurs.

Du coup je m’interroge sur la valeur du catalogue « personnel » de ces chaines à long-terme et je doute en fait qu’un tel modèle puisse engendrer des œuvres marquantes de la culture populaire de manière aussi importante et durable que la télévision « classique »