DC publiera à partir de mars Crime Syndicate, une mini-série dérivée des évènements de Dark Nights : Death Metal qui racontera les origines de la version maléfique de la Justice League sur la nouvelle Terre-3.
Le premier épisode contiendra également une back-up sur Ultraman dessinée par Bryan Hitch.
« Spinning out of the pages of Dark Nights: Death Metal, the DC Multiverse is reborn, and with it a new Earth-3! Witness the true origins of the malevolent makers of mayhem known as the Crime Syndicate as a common foe unites them! But how long can alliances last between villains like these? »
« Kieran and I were given a once a lifetime opportunity to build a world from the ground up. We’re establishing the Crime Syndicate’s origin story for the first time – how and why they came together. And we’re not taking it lightly. You’ll find that you’ve entered a fully realized world – this is the story of the Crime Syndicate, but it’s also the story of Earth-3 and it moves fast and pulls no punches. »
Spinning out of Dark Nights: Death Metal, the Multiverse is reborn-and Earth-3 with it! In this six-issue miniseries, witness the true origins of the malevolent makers of mayhem known as the Crime Syndicate as a common foe unites them! But how long can alliances last between villains like these?
Also in this issue, it’s the origin of Ultraman in our special backup story drawn by superstar artist Bryan Hitch!
Crime Syndicate (2021-) #1
Written by Andy Schmidt Pencils Bryan Hitch, Kieran McKeown Inks Bryan Hitch, Dexter Vines Colored by Steve Oliff, Alex Sinclair Cover by Jim Cheung, Romulo Fajardo Jr. Release Date: March 2, 2021
Bon, c’est sympa’ mais pas fou-fou non plus.
Andy Schmidt reprend les personnages à la base, a priori même avant que l’équipe se forme. On les voit donc chacun dans son coin, à faire leurs saloperies, jusqu’à ce qu’une menace commune les force sûrement à se réunir (Starro, bonne idée et bon clin d’oeil). Ces « horreurs » sont cependant plus ou moins pertinentes, certaines sont très basiques (Flash et Atomica tuent des gens au hasard), d’autres plus funs (Superwoman qui maltraite le Président américain et veut entraîner sa langue).
Il y a un côté « sale gosse » qui est sympathique, mais on reste dans du très convenu. Je tique un peu sur la temporalité, car ici Ultraman jeune tue Kennedy en 1963 alors que la suite se déroule en 2020 ; ça fait beaucoup entre les deux, quand même.
Ca reste sympathique, donc, mais finalement un peu sage, même dans les saloperies. Kieran McKeown propose des planches maîtrisées mais sans folie, alors que Bryan Hitch maîtrise une back-up assez pauvre sur la jeunesse d’Ultraman, qui pourrait même être incohérente (Ultraman vient de Krypton, mais alors pourquoi dit-on dans le récit principal qu’il est accro à la Kryptonite ? il faudra spécifier, car plusieurs versions montraient qu’il n’était pas extraterrestre).
Pour revenir sur le book, vraiment, ce n’est pas terrible, terrible quand même. Je préfère mille fois la dernière version de Geoff Johns.
Six épisodes? La lecture sera longue…