CRYING FREEMAN t.1-10 (Kazuo Koike / Ryôichi Ikegami)

Crying Freeman : Bon, je vous avais parlé en bien (vraiment bien même) de Sanctuary, vous vous rappelez ? Eh bien voici, toujours du même dessinateur, Crying Freeman. Le scénariste est différent, cependant il faut croire que Ryoichi Ikegami (le dessinateur) ne choisit pas à la va-vite ses scénaristes, puisqu’on pourrait bien croire qu’il s’agit des mêmes. A l’instar de Sanctuary, le manga est très adulte. On retrouve pas mal de sexe et de violence, ainsi que la mafia. Par contre, point de politique ici. Je n’ai lu que deux tomes et demi, mais comme pour Sanctuary, ce manga sent vraiment bon, et fait de Ryoichi une valeur sûre à mes yeux. Deux mangas, deux bombes. Y’a pas de hasard… Je sais déjà quelle série je vais bientôt commencer : Heat, du même dessinateur, et du même scénariste que Sanctuary.

Je te conseille Strain aussi, des mêmes auteurs, en 5 tomes, et terriblement efficaces également!
Par contre, j’attends ton avis sur la série complète de Crying Freeman, je me souviens avoir lu le tome 1 et ne pas avoir été très emballé (comparé à aux 3 autres).

Discutez de Crying Freeman

Excellent manga que j’avais d’abord connu par le film.

La bd et le film partent dans des directions assez différentes…

Bonne bd

Moi c’est l’inverse, j’ai lu la BD avant.
Et j’en garde un bien meilleur souvenir.

Jim

Tout pareil que Jim.

Tori.

Ayant vu le film, qui m’a beaucoup plu d’ailleurs, il ne m’a vraiment pas été difficile de rentrer dans l’univers de ce manga.

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Les dessins sont particuliers mais très beaux dans leur genre et surtout très travaillés au niveau des détails, un chapeau bas à l’auteur !

L’histoire ressemble fort pour le moment au film même si quelques différences sont notables…

Le héros est un personnage très charismatique de par sa carrure, le voile de mystère qui l’entoure et le métier un peu particulier pour lequel il vit, celui de tueur à gages…
Notre héroïne est une fille perdue, célibataire, vierge, à quelques jours de ses 30 ans et artiste dans l’âme…
Ce sont les histoires de ces deux personnages complètement opposés qui vont, sans grande surprise, se retrouver mêlées…

Rien à dire pour ce premier tome. L’auteur nous offre un travail de qualité, gâché par endroit par l’éditeur (problème de cadrage), mais on passe outre assez rapidement pour dévorer cette œuvre d’une seule traite.

Ayant vu le film, qui m’a beaucoup plu d’ailleurs, il ne m’a vraiment pas été difficile de rentrer dans l’univers de ce manga.

Les dessins sont particuliers mais très beaux dans leur genre et surtout très travaillés au niveau des détails, un chapeau bas à l’auteur !
L’histoire ressemble fort pour le moment au film même si quelques différences sont notables…
Le héros est un personnage très charismatique de par sa carrure, le voile de mystère qui l’entoure et le métier un peu particulier pour lequel il vit, celui de tueur à gages…
Notre héroïne est une fille perdue, célibataire, vierge, à quelques jours de ses 30 ans et artiste dans l’âme…
Ce sont les histoires de ces deux personnages complètement opposés qui vont, sans grande surprise, se retrouver mêlées…

Rien à dire pour ce premier tome. L’auteur nous offre un travail de qualité, gâché par endroit par l’éditeur (problème de cadrage), mais on passe outre assez rapidement pour dévorer cette œuvre d’une seule traite.

Ce deuxième volume est riche en action, un réel plaisir.

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Il nous permet d’apprendre et de mieux comprendre la naissance de Crying Freeman, sa formation et une partie du chemin qui l’a endurci… Petit plus, on voit aussi la naissance de son tatouage, là aussi, le dessinateur se fait plaisir.

Ce plongeon dans son passé prend quasiment la moitié du tome mais permet de mieux comprendre notre héros.
La seconde partie nous montre un Freeman en forme qui fait le ménage à sa façon pour en finir avec l’histoire commencée dans le premier tome.

Le volume 3 est très prometteur en action, puisque notre héroïne est le seul lien qui permette de remettre la main sur Yô et qu’elle a été repérée…Mais n’ayez crainte, Freeman, c’est le meilleur LOL

Crying Freeman Perfect Edition - Tome 01

Le tueur aux yeux de pluie

Tueur japonais au service de la mafia chinoise des 108 dragons, il a pour nom de code “Freeman”. Après chaque meurtre commis, il laisse couler des larmes. Quel secret dissimulent-elles ? C’est au travers de sa rencontre avec une jeune femme en quête d’amour que Freeman découvrira qui il est vraiment…

Après Sanctuary, Ryoichi Ikegami revient avec une autre de ses séries emblématiques : Crying Freeman. Cette saga en cinq volumes avait déjà eu les honneurs d’une adaptation cinématographique par Christophe Gans, le réalisateur du Pacte des loups. Avec cette édition Perfect, l’œuvre mythique revient en grand format et avec des pages couleurs. Vous n’aurez plus aucune raison de passer à côté de ce monument.

  • Éditeur ‏ : ‎ Glénat Manga; Illustrated édition (4 octobre 2023)
  • Langue ‏ : ‎ Français
  • Broché ‏ : ‎ 418 pages
  • ISBN-10 ‏ : ‎ 2344058397
  • ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2344058398
  • Poids de l’article ‏ : ‎ 420 g
  • Dimensions ‏ : ‎ 14.5 x 2.8 x 21 cm

J’ai découvert cette réédition en me baladant en librairie.
Je vais me replonger dans les deux tomes que j’ai datant de la première édition, tiens…

Jim

Je garde un souvenir très mitigé de la série. Autant la première partie était intéressante, autant la seconde l’était beaucoup moins. Et cette manie de se battre à poil, je comprends pas… :smiley:

ça réfléchit la lumière ? xD

Parce que ça réfléchit, dans un manga ?

Oh oui y’a des lens flare partout !

Et à chaque fois, cette satanée lumière est mal placée, on n’arrive pas à voir les parties anatomiques éventuellement intéressantes !

Tu la situes où, la coupure entre les deux parties ?
De mon côté, je n’ai que les deux tomes Glénat (qui correspondent donc à ce premier tome de la réédition…), je n’ai aucune idée de la tournure de la série au-delà.

Jim

Je fais comme @Tori, je regarde mes notes. :laughing:
A priori entre le tome 3 et le tome 5 de l’édition Kabuto. ça correspond à la partie où le freeman n’est pas encore le chef d’une triade en gros. Bon après, je parle de souvenirs qui ont une bonne dizaine d’années minimum.

Je vais relire mes deux tomes Glénat, pour voir si je retombe sous le charme après tant d’années, ou pas.

Je garde un souvenir étonné : il y a le côté über-viril des trucs de Koike (oui, je mets Lady Snowblood dans l’über-virilitude) avec un côté gentiment mièvre et culcul de l’intrigue amoureuse. Et ça donnait un cocktail bizarre, séduisant mais déroutant.

Jim