Sur le compte de La Boîte à Bulles, le 12 mai 2025 :
Et si l’on vous disait qu’il est plus facile d’imaginer la fin du monde que celle du capitalisme ?
Le 4 juin, découvrez Dans l’indifférence générale, un roman graphique puissant qui s’attaque au plus grand aveuglement de notre époque : les changements climatiques provoqués par l’homme.
Entre récit personnel, analyse historique et réflexion politique, Robert Grossi s’empare de la crise climatique qui nous menace et démonte les mécanismes d’un désastre annoncé – et les raisons pour lesquelles nous le laissons advenir.
Un roman graphique unique qui fait pour la première fois le lien entre écologie, crise démocratique et responsabilité collective.
En utilisant toute la puissance de la narration par l’image, Roberto Grossi s’attaque au grand aveuglement de notre époque : les changements climatiques provoqués par l’homme, une menace que nous faisons tout pour ne pas voir, que nous peinons à comprendre, alors qu’elle met en jeu notre survie même.
Grâce à un récit captivant qui mêle Histoire, science, politique et expérience personnelle, l’auteur nous livre une vision complète de la problématique, révélant la profonde crise démocratique qui se cache derrière ce désastre environnemental.
Sur le compte de La Boîte à Bulles, le 20 mai 2025 :
Pourquoi continuons-nous à vivre comme si de rien n’était alors que les signaux de la crise climatique sont visibles partout autour de nous ?
Avec « Dans l’indifférence générale », Roberto Grossi interroge ce décalage et mêle sciences, histoire, politique et récit personnel pour livrer une vision complète du désastre écologique en cours.
Un roman graphique unique qui fait pour la première fois le lien entre écologie, crise démocratique et responsabilité collective.
Tiens, je note l’usage du pluriel « australs ».
Mon dictionnaire me dit qu’on peut utiliser indifféremment « australs » et « austraux », mais tout de même, ça fait bizarre.
Et j’ai vérifié : même chose pour les pluriels « boréals » et « boréaux ».
Purée, ça fait déjà cinquante ans que j’ai du mal avec « chantiers navals » (qui est le seul pluriel possible, crois-je…), alors là, je n’ose pas lire le contenu de ton lien, ça va m’exploser les derniers neurones qui me restent.
Et il y en a d’autres : astral, banal, frugal, jovial, matinal, papal, pluvial, tonal, etc.
Bon, pour banaux / banals, il y a une différence de sens, il me semble : banal dans le sens de « commun » prends le pluriel banals, mais quand ça se rapporte à la propriété d’un seigneur, c’est « banaux ».