DCEASED : HOPE AT WORLD'S END (Tom Taylor / divers)

Sortir de quoi ?

De ton forum / maison de retraite.
(parce que les résidents et les soignants devaient y rester enfermés)
(je n’ai jamais dit que mes messages seraient toujours drôles)

J’y suis enfermé depuis 2003 ! :crazy_face: :heart_eyes:

Les meilleurs.

Chut. Taisons-nous. Les chats ont des oreilles.

M’en fous, les droits d’auteurs continuent à tomber.

Pourtant, j’ai bien gloussé, merci.
(Bon, c’est sans doute parce que j’ai lu la conversation d’un bloc : les forums, c’est comme les TPB : c’est mieux par groupes d’épisodes)

Jim

Sauf Doraemon.

Tori.

Nous, tu sais, les remplaçants, on ne les connait pas bien.

Héhé.

Jim

The world needs a Batman but Damian is struggling with the enormity of the mantle…can the Man of Steel help? And seeking safe haven, Suicide Squad’s Wink and The Aerie reach the fortress of Jotunheim…but is anywhere left on Earth safe from the unliving?!

DCeased: Hope At World’s End #4

Written by Tom Taylor
Pencils Marco Failla
Inks Marco Failla
Colored by Rex Lokus
Letters by Saida Temofonte
Cover by Yasmine Putri
Release Date: June 30, 2020

Encore un bon numéro.
Pas aussi maîtrisé que le #2 sur Black Adam, pas aussi beau et pur que le #3, mais plus comme le #1 : un numéro réussi, qui gère quelques détails de la saga principale, avec toujours une compréhension extrême des personnages.
Ici, Tom Taylor récupère deux de ses créations récentes de Suicide Squad pour poursuivre un peu l’intrigue Black Adam, en montrant notamment les ravages d’un Black Adam zombifié. Sympathique, mais anecdotique, bien que les deux personnages issus de Suicide Squad soient toujours rafraîchissants. Surtout, le scénariste montre comment Damian accepte définitivement le rôle de Batman, notamment grâce à Jon et surtout Superman. Un beau dialogue, un beau moment, plein de compréhension, de cohérence et d’humanité.
Pas un numéro marquant, donc, mais un numéro bien mené, qui rajoute uniquement des détails mais le fait bien. Marco Failla illustre ça joliment, sans être formidable mais sans rien rater.

Loin des sommets précédents, mais de très bonne qualité.

Bon, on a avancé depuis, et ça se lit bien.
Mais sans passion.
Hormis le numéro sur Ace, Chimp et Krypto qui est mignon (mais sans pousser non plus), tout est quand même assez classique dans l’approche DCeased.

Là aussi, j’ai l’impression que Tom Taylor « force » pour prolonger le buzz de DCeased. Tout ça se lit agréablement, c’est fait intelligemment, mais la passion n’est pas là, et quelques intrigues sont volontairement rallongées au-delà du temps adéquat.

Clairement secondaire. Clairement dispensable.