L’Apocalypse ! Depuis le temps qu’on en parle… Eh bien, c’est pour demain. Enfin, dans onze ans, très exactement.
Depuis que Dieu créa le monde et Satan l’enfer, chacun des deux cherche à tirer la couette à lui. Pour défendre leurs intérêts respectifs, ils ont leurs envoyés spéciaux sur terre. Côté Bien : Aziraphale (ange de son état, bibliophile et libraire à mi-temps). Côté Mal : Rampa (démon, lunettes noires et boots en peau de serpent, propriétaire d’une Bentley). Et l’Apocalypse, ça ne les arrange pas du tout. Parce que, vous savez ce que c’est, quand on vit quelque part depuis des siècles, on a ses petites habitudes. Alors ange et démon vont doubler leurs patrons et tout mettre en oeuvre pour faire capoter l’Apocalypse.
Hilarant, iconoclaste, un vrai feu d’artifice !
Oh la boulette. Merci Jim.
Très fan de ce bouquin et de cet univers. Je l’ai lu deux fois, la deuxième il y a 3 ans avant de regarder la première saison de la série et c’était un plaisir à chaque fois…
Ecoute, il me reste 140 pages à lire, et je ne boude pas mon plaisir d’en avoir encore autant.
J’ai trouvé qu’il y a eu un petit ventre mou entre la 100ème et la 200ème pages (mais j’expliquerai pourquoi j’ai ressenti cela, et je sais pourquoi)
Je sais que certains d’entre vous n’êtes pas fans de l’écriture de Gaiman (pas été déçu de ses livres, pour ma part), et là, avec Pratchett, c’est quand même sacrément agréable à lire.
Alors, c’est assez gras ou dense, car chaque scène est très développé et pourtant, on n’a pas d’impression de lenteur dans l’action (surtout sur la fin). Je pense aussi que la gestion en courte session/scène aide aussi à donner du rythme (en tout cas, moi, c’est une construction que me convient totalement). Les descriptions font qu’on imagine bien les scènes, au point de donner l’impression que les auteurs décrivent un film, avec beaucoup de précisions sur les réactions et expressions des perso. D’ailleurs les dialogues ne cherchent pas forcément une efficacité d’action, mais ça permet d’insister sur l’ambiance et les caractères des perso. Bon, ça permet aussi d’être délicieusement grinçant sur tout un tas de sujets, même ceux auxquels on ne penserait pas, sans que ça tombe comme un cheveu sur ma soupe. Et quand on sait que cela a été fin des années 80, on se dit que les auteurs ont senti certaines choses. Et puis y a plein de références, de clins d’oeil … c’est assez réjouissant. Bon, j’ai appris que la VHS a eu un concurrent (il a fallu que je fouine pour que je la comprenne celle-ci).
Et puis les dialogues sont vraiment savoureux, j’ai beaucoup ri pendant la lecture.
Mon bémol tourne vraiment autour des pages 100 et 200 de mon édition. En effet, ce sont les Eux qui sont beaucoup mis en avant, et si je comprends qu’il fallait passer du temps pour la suite, mais bon, les échanges entre les enfants étaient quand même bien moins intéressant, pour moi. J’ai beaucoup pensé à Jim et les Goonies à ce moment-là.
Mais ça fourmille tellement d’idées, ce bouquin, que je considère cela vraiment comme un bémol, tant j’ai pris du plaisir jusqu’au bout dans cette lecture.
Deux concurrents principaux, en fait : le Betamax et le Video 2000. Chacun des deux avait une meilleure qualité que la VHS… Mais cette dernière permettait une durée d’enregistrement supérieure.
Tori.
Oui c’est ce que j’ai compris.
Mais tu fais bien de le dire.