La série Major X part dans du grand n’importe quoi, pas grand chose de cohérent dans le déroulé de l’histoire. Les dessinateurs sont au diapason (même si la commande est du faire du Liefeld, si j’ai compris).
Pour Spidey/Deadpool, ça fait un moment que la série stagne et qu’elle n’a plus de grinta. Grand temps que ça se termine.
Deadpool : donc, là, Young se lance dans un arc, alors qu’il n’avait fait que des épisodes auto-suffisants à ce jour. C’est plutôt équilibré en terme de construction et le dessin suit bien. Curieux de voir comment tout cela va se régler, parce que Wade est tombé sur un os !
Deadpool : comme envisagé, les épisodes solo sont en stand-by pour lancer une histoire sur plusieurs épisodes (mais qui sera aussi en stand-by le temps de la guerre des Royaumes). C’est pas mal, y a quand même assez peu de surprises, on sent évidemment les références (pas de volonté de cacher, de toute façon), mais ça se lit plutôt bien, avec de bonnes scènes de castagne.
Spidey/Deadpool : pour ce cinquantième et dernier épisode, Thompson a plus de place. Le début est un peu longuet quand même, dans la veine des épisodes précédents, mais j’ai bien aimé sa manière de remercier les gens qui ont travaillé avec lui sur la série. C’est plutôt sympa.
Major X : voilà un comic-book qu’il faut prendre dans les écoles de bandes dessinées pour montrer ce qui peut rendre une BD mauvaise. Niveau scénario, dialogues, gestion des scènes, c’est du grand n’importe quoi (dur de tout dire). Et niveau dessin, c’est aussi du grand n’importe quoi. Une gestion des volumes qui est complètement anarchique. Je me demande si Panini va quand même la sortir en format 100%, cette série ?