DERNIÈRES LECTURES COMICS

Pas envie de chercher le sujet ? ^^

Comme par hasard. Ça l’était aussi hier soir.
Je n’ai pas été très original, j’ai sorti le deuxième numéro de la 3ème série dénommée Il est minuit… l’heure des sorcières chez Artima datant du 1er trimestre 1982.

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Alors, la collecte d’informations s’avère déjà plus compliquée. Déjà,dans le bouquin, toutes les références des auteurs/dessinateurs n’y sont pas présentes.
Ensuite, je sais que des épisodes sont issus de Witching Hour #66à #69 (mais il ne doit pas tout y avoir, car il n’y a qu’une histoire pour certains numéros), mais aussi de Secrets Of Haunted House #33 (par George Kashdan ou Carl Wessler, en fonction de qui on croit et Fred Carrillo) et de Unexpected #174 (toujours par George Kashdan, qui semble signer pas mal d’épisode, accompagné par Don Perlin cette fois-ci).
Bon, je vous la refais pas, ce sont des histoires courtes avec pour thème où à minuit, il se passe quelque chose d’extraordinaire, au milieu de l’extraordinaire déjà présent. Les 3 sorcières conteuses sont rigolotes et je dois dire que j’ai souri avec certains dialogues (l’évocation du « starter », ce que les jeunes d’aujourd’hui ne doivent pas comprendre).
Y a toujours une petite morale dans tout ça, et ça se termine jamais très bien, excepté dans la dernier épisode, qui sort clairement du lot à ce sujet.
Les dessins me semblent moins bien finis que dans le tome précédent. Même si la présence de Don Perlin, ER Cruz, Frank Redondo et Rubeny rehausse le niveau. Cela étant dit, ces petits vieux épisodes sont toujours une récréation sympathique à lire.

(bon, pour l’an prochain, va falloir que je trouve autre chose … ou que j’en trouve en brocante)

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(en regardant les couvertures, je me dis que les épisodes pricnipaux de chaque anthologie est présent dans la VF, mais aussi, je demande si comicsvf ne s’est pas trompé pour certains)

3 « J'aime »

Entre le dernier épisode de Jodie Whittaker et le premier épisode spécial des 60 ans, il s’est passé un an. Une année qui a permis aux équipes du Doctor Who Magazine d’orchestrer la première aventure en bande dessinée du 14ème Docteur, une histoire intitulée Liberation of the Daleks composée de 14 chapitres de 6 pages chacun.
Le scénariste Alan Barnes (un habitué du magazine) ne perd pas de temps en débutant au moment précis où se terminait Le Pouvoir du Docteur. Le Tardis reçoit un signal de détresse et le Docteur se retrouve au stade de Wembley en 1966, pendant la finale de la Coupe du Monde de Football. Le Seigneur du Temps se rend compte que quelque chose ne va pas avec l’une des familles présentes dans les gradins puisqu’il s’agit d’extraterrestres sous forme humaine. C’est alors qu’un vaisseau apparaît et que les Daleks en sortent pour tout exterminer…what else ? Mais ce qui est encore plus étrange, c’est que la famille d’aliens ne semble pas surprise du tout…
Si la construction du récit, avec ses chapitres courts, ne permet pas de vraiment bien développer les personnages secondaires, le rythme est bon et les révélations bien dosées, le Docteur se retrouvant dans une sorte de parc d’attractions cosmique basés sur les Daleks. Et vu l’idée, tout cela ne pouvait que mal tourner. Alan Barnes maîtrise bien la personnalité, la « voix » et les répliques du Docteur, et les rebondissements ne manquent pas, avec beaucoup d’action et de bons cliffhangers. Le dessinateur Lee Sullivan tire un peu la langue dans les derniers chapitres mais dans l’ensemble son style est solide (il reproduit très bien les traits de David Tennant), expressif et le concept est l’occasion de visuels délirants (il y a quand même des chevaliers montés sur des dragons qui affrontent des Daleks). Bref, du bon Dr Who en BD, une lecture divertissante comme souvent avec le Doctor Who Magazine.

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3 « J'aime »

J’hésitais, tu me donnes envie. Merci !

Après ce qui est un peu dommage c’est le prix, un peu trop élevé pour une BD de moins de 100 pages. D’habitude ces albums ont pas mal de bonus intéressants mais là il n’y en a pas du tout…j’ai l’impression qu’ils ont rushé la sortie du recueil pour le 60ème anniversaire…

1 « J'aime »

Oui, ça m’a freiné aussi.

Relecture

Et toujours le gros plaisir dans ce lot de mini-série consacrées à différent élément de la série classique Star Trek. Cela ne m’avait pas frappé à la première lecture il y a de cela quelques années mais si toutes ces mini-séries peuvent se lire indépendamment (et ce fut mon cas puisque mon premier contact avec celles-ci fut avec l’édition française de Delcourt de la mini-série consacrée au bon docteur McCoy), il y a plein de références et d’apparition de personnage naviguant entre les œuvres donnant au tout une belle sensation de faire parti d’un même tout. Byrne en a toujours sous le capot et on ressent bien le plaisir qu’il a d’écrire sur une série qui a bercé son travail.

Si j’aime bien les épisodes sur les Romuliens et la mini consacrée au Dr Who à Gary Seven (Assignement : Earth), mes préférés restent Leonard McCoy, Frontier Doctor (les voyages de McCoy donc) et surtout Crew consacré à celle qui sera la première officier de l’Enterprise lors du premier pilote de la série. Une excellente série d’aventure qui nous montre la vie de Number One depuis son arrivée en tant que cadette jusqu’au fauteuil de commandement d’un vaisseau.

2 « J'aime »

Purée, faut que je me les trouve en VO, tous les Byrne. Ils sont très sympas.

Jim

Je me demande si c’est pas son dernier « gros » boulot d’ailleurs.

A la relecture tu sens qu’il a pas la pêche d’antan (et je me suis même surpris à trouver certaines transition de cases assez confuses) mais j’aime bien comment il se case entre les interstices pour développer son truc. Gary Seven par exemple, c’est un personnage d’un épisode de la série TV et pas forcément apprécié d’ailleurs. Pourtant Byrne l’extirpe pour s’amuser à écrire Dr Who avec des astuces temporelles que renierait pas certaines showrunners anglais.

Avec McCoy c’est plus classique mais tu retrouve son petit coté sadique dans la résolution des intrigues et les révélations de ce qui se trame derrière certaines mystère (j’aime bien le sadisme de Byrne gniark gniark)

Je crois que Crew c’est vraiment son meilleur. Déjà parce qu’il peut s’amuser avec un personnage féminin peu exploité et du coup il s’en donne à cœur joie surtout qu’il peut l’écrire sur des dizaines d’années (sans compter ses apparitions dans d’autres mini-séries). J’aime bien son look et son assurance. Elle ne dénature pas à coté d’une Femme Invisible.

2 « J'aime »

Il me semble aussi. J’ai pas la chronologie en tête, mais chez IDW, je vois surtout des trucs sans suite, genre Cold War. Rien d’ampleur.

Clairement. Tous les défauts de ses années 1990, sans l’énergie. Mais ça reste quand même pas mal.

L’épisode sur la téléportation, il est assez fort !

Tout le monde n’est pas de cet avis :

Excellent rappel d’une évidence : Byrne a mis en valeur une femme forte, et tout son run tourne autour de Sue, l’élément central, essentiel.
Et tous ceux qui grognent sur les scénaristes mâles blancs hétéros cisgenres feraient bien se de rappeler que, chez Marvel dans les années 1980, trois femmes étaient au centre des grands groupes, les Fantastiques, les Vengeurs et les X-Men, et que leurs aventures étaient écrites par des barbus.

Jim

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Profitant des vacances je me plonge dans les six premiers épisodes de la série de Denny O’Neil et Denis Cowan que j’avais dégotté chez les copains du Cube à Comics.

J’aurais bien voulu faire le blasé en n’étant guère étonné de la qualité des épisodes mais bon en fait j’ai repris une nouvelle claque délivré par le taulier. Déjà je crois pas me souvenir d’un précédent boulot de Cowan donc grosse claque par la création des ambiances, la tronche des personnages, cette mise en scène de la ville, ce travail sur les ombres, le brouillard et la pluie. Si ca m’a fait penser à Sin City, c’est normal, ca fait penser à Sin City vu qu’on se retrouve face à un Question littéralement ressuscité dès le deuxième numéro en lutte contre un prêtre qui dirige une ville bien pourrie à la base.

C’est direct comme un uppercut tout en prenant le temps de reconstruire le personnage de Vic Sage via un entrainement zen dans la grande lignée de ce qu’a pondu précédemment O’Neil. Rien de bien nouveau mais que du bon avec surtout la mise en place d’une atmosphère qui parcours chaque épisode. Mon préféré allant au sixième traitant des conséquences de la lutte, sa description de plusieurs citadin perdu dans une ville en proie à des émeutes et un Question se questionnant (gag, rire) sur son rôle dans tout cela.

Bon je m’en vais dégotter la suite et lire cette trentaine de numéros

4 « J'aime »

Sauf que c’est cinq-six ans avant.

Mais bon, c’est écrit par le mec qui a supervisé les Daredevil de Miller ainsi que Batman Year One, donc bon, y a cousinage.

J’ai quelques TPB, mais pas tous. Faudrait que je complète.

Jim

Je sais pas si toute la série existe en TPB. Je chercherais à l’occasion

Je me suis mal exprimé. Ce que je voulais dire c’est qu’on ressent bien ce cousinage justement.

Il me semble que oui. Sauf que ça s’est vendu plus vite que j’ai pensé à les prendre…

Jim

Il y a deux omnibus.

Je l ai en tp entiere 6
Je reflechis d ailleurs a les vendre

Je l’ai entièrement en 6 TP, c’est ça ?

Oui j ai fais ma phrase en 3 fois.
Erreur
Oui comme tu le dis

par contre les TP SC ne comporte que la serie principale… pas les annuals ni les quaterly ni autres bonus des omnibus

Pense à moi si c’est le cas