Enfin bon, je viens de tilter que le héros de Van Vogt s’appelle Jommy tandis que celui de Takemiya s’appelle… Jomy.
Donc mon ressenti à la lecture ne relève peut-être ni de la confusion ni de la coïncidence…
Jim
Enfin bon, je viens de tilter que le héros de Van Vogt s’appelle Jommy tandis que celui de Takemiya s’appelle… Jomy.
Donc mon ressenti à la lecture ne relève peut-être ni de la confusion ni de la coïncidence…
Jim
Bon … je surveillerai à l’occasion.
Ce qui se transcrit de la même façon en japonais…
Dans cette interview, Takemiya donne quelques informations :
-Comment avez-vous trouvé les noms de vos personnages ?
-Jomy : Du personnage principal du roman de science-fiction « Slan ». Marquis Sin est un jeu de mots.
Bleu : C’est tiré du film « L’homme qui a tiré sur Soldier Blue » (ndT : c’est seulement « Soldier Blue », en fait). J’adorerais voir un film comme celui-là avec Keith comme personnage principal.
Keith : D’un acteur nommé « Kim Ball Keithson » (ndT : j’ai transcrit à peu près le nom qu’elle donne : je n’ai pas trouvé quel acteur c’était)
À ce sujet, il y a longtemps, dans le roman Lensman, il y avait un personnage du nom de Kim Ball Kinnison, il est donc possible que j’aie mal entendu.
Tori.
Cette période de J’ai Lu SF était formidable : réédition de gros classiques déjà au catalogue (À la poursuite des Slans en fait bien sûr partie), arrivée de trucs nouveaux (c’est à cette période que j’ai découvert Les Voies d’Anubis de Tim Powers, là encore avec une couverture de Caza), remplacement de plein de couvertures (je n’aimais pas du tout le boulot de Tibor Csernus, et j’étais soulagé de voir ses couvs disparaître au profit de celles de Caza ou d’autres… Depuis, j’ai un peu révisé mon jugement…), etc. C’était la collection qui se transformait, attirant tous les regards à l’époque.
Pour J’Ai Lu, ça rentrait dans une logique d’identification, une volonté de créer des sous-labels au sein de leur catalogue. Et cette collection, je l’aimais beaucoup, elle avait une identité forte. La dernière collection SF qui me semblait à ce point afficher une charte graphique facilement identifiable, c’était Présence du futur, chez Denoël, et le changement d’identité visuelle (l’illustration dans un cercle), c’était au milieu des années 1970, soit dix ans avant, en gros. Pour moi, Présence du futur, c’était à l’époque déjà un truc classique, là où J’Ai Lu SF était l’endroit des nouveaux auteurs (Tim Powers, David Brin…), là où ça bougeait.
Faudrait que je regarde quand Pocket SF a changé de look aussi (passant des dos noirs aux dos argentés). Il me semble que c’était plus tard que chez J’Ai Lu.
Jim
Oui, c’est vrai que c’est une charte graphique reconnue.
Depuis, ils ont placé un cadre blanc autour du bleu-violet du dos, agrandi le format, proposé une nouvelle charte graphique dans les années 2000 avec un pelliculage mat… mais je reste nostalgique de la « période bleue ». Ça avait de la gueule, le rayon, chez le libraire.
Je me rappelle encore la Maison de la Presse où j’allais après les cours, il y avait une étagère sur rail, devant une autre étagère fixe. Les J’Ai Lu était sur l’étagère mobile, les Pockets et les Présence du Futur, de mémoire, sur l’autre, qui donc était plus large. Et ça avait une gueule folle, ces collections bien identifiées, avec un visuel reconnaissable.
L’effet Strange, si tu veux. Ou Lug : des dos blancs pour les super-héros, des dos jaunes pour les petits formats (bon, ça n’a pas toujours été le cas, pour ces derniers…).
J’adorais ce rayon SF, j’y passais des plombes entre les cours et le car pour rentrer chez moi.
Jim
J’en suis encore au tome 1 (bon, vers la fin, certes), à la vitesse où je vais, même toi tu vas me rattraper…
Jim