DOCTOR WHO (Saisons 1-2)

Pareil pour moi : et la scène de mime à travers les vitres m’a complétement convaincu.

Jim

Bien ce qui me semblait. J’osais pas le dire.

Peter Capaldi qui apparait aussi dans la troisième (et meilleure) saison/mini-série de Torchwood.

Voilà.

Oups, oui : une future compagne et un futur Docteur… Je voulais plutôt dire « deux acteurs ayant de l’importance par la suite ».

Tori.

J’étais sceptique. J’ai beaucoup aimé les épisodes et surtout le retour de cette Dream Team (Davies, Tennant et Tate).

L’arrivée d’un Doctor Queer avec ses belles dents, je suis toujours méfiant…et ça n’a pas duré longtemps! Oui, c’est chouette, ça rigole, ça s’envole, bref, y a un gros coup de frais sur la Franchise qui me ravit, porté par cet acteur formidable qu’est Ncutu Gatwa. .

Et comme souvent, le coup de frais vient aussi du casting secondaire. Vous en avez parlé mais le plein de générations différentes donne du corps à ce show. J’ai beaucoup de sympathie pour la vieille sur son perron, qui cache bien son sourire. :wink:

Souriez!
Il est de retour! Allons-y! Ah non ça c’est l’autre! :wink:

Purée, je viens de le voir : je suis mega fan. J’en reparle mais je suis mega fan et cet épisode donne la patate.

1 « J'aime »

Vu le Christmas Special 2023, donc, chargé de proprement introduire le 15e Docteur avant sa nouvelle saison 1 (mais vont-ils encore garder le décompte des Docteurs ?).
Et j’adore, déjà.

Je suis encore dans l’impact, le fun, le plaisir, mais j’adore, oui. J’adore ce lancement très efficace, qui introduit fort bien ce Docteur qui me plaît (je vais y revenir), mais aussi sa compagne et des éléments généraux, une orientation elle aussi fort plaisante.

L’épisode est bon, déjà. Pas trop long, pas trop court, avec des ennemis surprenants mais intéressants, plus fantastiques que scientifiques ; c’est agréable, d’autant que le Docteur en découvre sur eux durant l’intrigue, et c’est aussi bien qu’il ne sache pas tout. J’ai adoré le passage musical, particulièrement entraînant et fun. J’ai aussi été très ému, certes de la victime de l’enlèvement (par lien personnel, ayant une fille de 18 mois) mais surtout de la réécriture temporelle avec l’effacement de Ruby, qui change sa famille adoptive et touche le Docteur.
De très belles scènes, avec un épisode feel good, qui donne la patate et le sourire. C’est très agréable, et donne envie de voir la suite. Plus, au fond, que les subplots bienvenus et intéressants mais « lourds » car voyants sur l’environnement de Ruby (l’identité de la mère va provoquer 20.000 théories, idem pour Ms Flood qui change d’attitude en général dès qu’elle le voir : l’attendait-elle ici ? Ancienne ennemie cachée ?).

Parlons de Ruby, aussi. Une de mes grosses craintes était en effet que Ruby Sunday soit trop proche de Rose Tyler, elle aussi blonde, elle aussi jeune, elle aussi chargée d’accompagner le Docteur dans une nouvelle s1.
Heureusement, Russel T Davies l’écrit différemment, plus joyeuse et « pure » qu’une Rose piquante et un peu usée ou blasée par le quotidien. Ruby est encore à découvrir mais son sourire à la vie fait plaisir, notamment son positivisme malgré sa malchance. C’est cool et rafraîchissant, comme les soupçons de diversité amenés sans brutalité et qui fonctionnent (son amie a priori trans ou non binaire, sa famille adoptive noire adorable sans que ça soit un propos particulier).
Millie Gibson la joue bien, même si elle n’est pas la star de l’épisode, et c’est cool, oui. C’est cool car l’ensemble est équilibré.

Les thèmes sont bons. J’apprécie cette orientation plus fantastique que scientifique ici, et j’apprécie cette volonté d’avancer, de se projeter vers l’inconnu. Russel T Davies a bien « laissé » l’historique et le trauma de la continuité au 14e Docteur, et ce 15e en ressort très frais, avec ainsi un lancement à mon sens idéal pour découvrir ou re-découvrir la série.
Je sens que Davies veut écrire une série feel good malgré le propos fort (ça veut bouffer du bébé, quand même), et cette volonté est agréable et entraînante.
Notamment parce que son 15e Docteur est une réussite.

On l’avait déjà un peu vu dans le Special 3, on le découvre ici en lui-même. Et quel pied.
Ce 15e me plaît énormément car il me paraît fun et mature. C’est un aventurier positif, à l’approche légère mais pas neuneu. J’ai aimé le 11e mais son côté délirant était un peu neuneu, enfantin ou bêbête. Ici, ce 15e s’amuse, danse en jupe (sans que ça gêne), chante, bondit, court, invente des gadgets en plus du Sonic (je n’aime pas le look du nouveau Sonic mais les gants sont cool et c’est bien de ne pas tout laisser reposer sur le Sonic) mais reste déterminé. Ma femme m’a fait la très juste réflexion qu’il est agréable de voir le Docteur enquêter, capter un souci qu’il identifie seul, sans que le TARDIS l’y amène et enquête ensuite autour.
Je suis charmé par ce Docteur pas marqué par le trauma (à la différence du 9e dans le déni et du 10e dans la culpabilité du survivant), alors que Davies utilise intelligemment l’ère Chibnall pour créer un autre trauma et réorienter le personnage et la série en créant un lien fort avec Ruby. Je parle ici du Docteur qui révèle avoir été adopté, en effet par les TimeLords (enfin Gallifreyens à l’époque car ils ont volé ses capacités pour se régénérer). Il est adopté comme Rudy, comme elle (pour l’instant) il ignore son origine, et c’est habile de les lier par l’abandon parental ; leur relation ne sera pas amoureuse et c’est cool.
J’aime ce Docteur mature mais fun, déterminé mais pas sinistre, qui agit mais n’est pas dans une posture de menace. C’est très léger, neuf, avec un Docteur « propre », apaisé de son trauma de continuité… neuf, donc.
Et cool. Et très bien incarné par un Ncuti Gatwa qui bouffe l’écran et éclaire l’épisode de sa présence solaire, rassurante et entraînante. Il me convainc et m’embarque.

Un épisode agréable, donc, je me répète, mais surtout positif, bien lié à Noël, prenant, qui donne envie de voir la suite et entraîne.
J’ai hâte d’en voir plus et je suis épaté par Russel T Davies. Que c’est cool.

3 « J'aime »

Pour peu qu’en plus, la personne qui la dépose devant la porte de l’église ne soit même pas sa mère (même si le narrateur indique que c’est bien sa mère)…

Oui, j’ai apprécié la ce qui a été fait avec ce personnage. Ce n’est pas fait au forceps.

Tori.

1 « J'aime »

Possible, mais c’est trop mis en avant pour ça, je pense. La déception serait trop grande lors de la révélation.

D’autant plus que ce Doctor n’est pas forcément hétéro (d’après son prédécesseur dans l’un des 3 spéciaux : « I that who I am now ? », et Donna de épondre : « Honestly, I always thought you were… »).

1 « J'aime »

Oui, et ça aurait même été déjà « révélé ».

Bien que j’ai toujours considéré que le Docteur était au-delà de ces convenances en étant plus libre.

1 « J'aime »

Comme le Loki de Marvel (c’est aussi lié au fait qu’il est « gender fluid » via ses changements de forme).

Loki

ae780e8e63d8a7c0aa3cc05076345283

1 « J'aime »

De toute façon, il n’est pas humain. Alors lui appliquer des « normes » humaines n’est pas approprié.

Tori.

2 « J'aime »

Oui. Et j’ai l’impression que Ewing l’écrit en non binaire.

1 « J'aime »

Exactement !
Et d’ailleurs, je ne suis pas sûr que Davies le fasse encore parler de lui comme un TimeLord…

Revenons nous également au contexte de la s1 de 1963, où le Docteur est un extraterrestre sans origine évoquée ?

1 « J'aime »

Complètement.
Un Loki androgyne (et même assez fluctuant d’un épisode à l’autre) et aussi troublant que séducteur.

Jim

2 « J'aime »

Dans le prolongement de son Loki: Agent of Asgard (2014-2015).

1 « J'aime »

Sans doute la compagne de route la plus sympathique depuis (au moins) ceux de la dernière saison de Moffat (Bill Potts & Nardole).

1495457847-bill-nardole-doctor-who

1 « J'aime »

Mes chouchous !