Dans un futur où l’humanité a voyagé à travers la galaxie des milles planètes, une mystérieuse sororité appelée Bene Gesserit navigue entre les batailles politiques et les imbroglios de l’Imperium, poursuivant un but bien précis et bien à lui qui va amener ses membres jusqu’à l’énigmatique planète de Dune…
Science-fiction Série américaine Créée par Diane Ademu-John d’après les livres de Frank Herbert, Brian Herbert et Kevin J. Anderson Avec Emily Watson, Olivia Williams, Indira Varma, Mark Strong, Travis Fimmel… 6 épisodes cet automne sur MAX
Marrant, quand j’ai regardé hier soir, j’ai trouvé une esthétique marvélienne (en moins colorée, forcément), avec des cadrages similaires, que ce soit sur les grands décors ou les scènes de rencontres entre les personnages. Et j’ai pensé à toi.
Ouais. C’est beau, c’est ambiancé, c’est prévisible.
J’aime bien, hein, mais on sent dans cette bande-annonce que les choix sont moins radicaux que du Denis Villeneuve.
Sans doute que mes attentes étaient trop élevées, et peut-être influencées par le travail de Villeneuve.
Donc pas déçu dans l’absolu : j’aime les acteurs et j’ai envie de les voir évoluer dans ce genre d’univers. C’est juste que ça me donne l’impression que les Gardiens de la Galaxie ou Captain Marvel vont apparaître au détour d’un spatioport.
Tu as sans doute raison concernant la moindre radicalité mais je pense qu on peut etre rassuré quant à la prise au serieux du monde qui ne devrait pas contenir la distance ironique propre à nombres de productions du mcu.
Vu les 2 premiers épisodes et je suis séduit par la proposition de découvrir le passé de l’univers de Dune, bon on nous rappel via les scènes de culs inutiles et longuettes qu’on est sur HBO, je serais pas étonné si au marketing ils finissent par mettre le « game of throne de l’espace » pour vendre la série lol.
La plupart des acteurs tiennent bien leur rôle, on parle aussi beaucoup du Djihad Butlerien pierre fondamentale de l’univers d’Herbert donc en plus de l’évolution des sœurs, le reste du lore n’est donc pas négligé.
Les décors sont dans l’ensemble bien choisie avec ce côté « futuriste » mais « daté », on peut déjà apercevoir la différence avec Arrakis (vu uniquement en visio 3d) inhospitalière à la chaleur écrasante avec la planète de l’empereur plus verte et vivante de jour comme de nuit.
La planète des sœurs semble aussi aride, n’offrant que le minimum syndicale pour vivre, un peu comme la vie au couvent finalement.