merci de parler des titres français, j’ai pas compris tout de suite de quoi tu parlais.
il faut le savoir si on est pas un autiste du manga que ten² = ten ten = TENjo Tenge = Enfer & Paradis.
la meilleur série qui puisse exister c’est enfer et paradis:D
c’est fun ;y a de la baston , de l’amour,…
bref que du bon
Je fais les air gear mais pour un manque evident de tunes, j ai stoppé pour l instant, j ai lus que les 2 premiers, j aime bien mais je trouve pas ca sensationnel…
Et Tenjou Tenge, j aime beucoup, j ai les animes mais je veux pas faire les mangas, je trouve la politique de prix de panini scandaleuse (9.90€ le manga faut arrester de se foutre de la gueule des lecteurs, on est pas des vaches a lait…)
De mémoire, les Enfer et Paradis sont plutôt à 8,99€ mais c’est du pareil au même. D’un autre côté, le format est un peu plus grand que la moyenne et y a quelques pages couleurs. Le prix peut se comprendre…
(D’ailleurs, ils ont aussi des séries à 6-7€ comme Nora, dans un format plus classique).
Si tu as aimé les anime, ce serait bête de pas suivre le manga qui va BEAUCOUP plus loin (la fin de l’anime correspond au tome 6 ou 7 grand max).
Pour ne pas être complètement hors sujet, j’ai trouvé le tome 15 de Enfer et Paradis assez mauvais. C’est un énorme flash back qui n’apporte pas grand chose et qui est beaucoup trop solennel (on a parfois l’impression de suivre un cours d’histoire). Pas très agréable à lire.
je trouve en effet qu’il ya tro de flash back dans enfer et paradis
En aprlant des animes de Tenjou Tenge, il y a aussi des episodes flash back, qui, a mon gout s eternisent un peu…ca dure 4/5 episodes je crois…mais je les feraient pas, j ai assez de collections en cours, je les taxerai a un pote, qui a une collection de ***. Sinon pour parler dernieres lectures je viens de me fendre la gueule, comme d hab, avec Midori Days 7. Trop poilant!
C’est pas le côté « flash back » en lui-même qui m’a gêné dans le tome 15 mais plutôt que cette fois-ci on ne se retrouve pas 2 ans dans le passé mais bien 800!
Sinon, j’aimais beaucoup les passages avec Shin, Mitsuomi et tout ça. Ils étaient longs mais moi je voyais plutôt ça comme une autre histoire parallèle que comme un flash back à proprement parler. L’histoire se déroulait à 2 époques (enfin, peut-on vraiment parler de 2 « époques » alors qu’il n’y a que 2 ans entre les 2?) à la fois et l’une expliquait l’autre.
J’ai trouvé ça assez sympa.
bah pas moi, il est vrai que je n’en suis qu’à la moitié mais l’histoire se ralentit grave et s’est assez lourd. c’est juste mon avis.
Attention !
Je vais parler de… roulements de tambour
Enfer et Paradis 21 :
MOUAHAHAHAHA ! Ivan, je suis sûre que tu l’attendais avec impatience celle-là ^^
Alors, alors. Que dire ? Je ne vais pas me hasarder à faire un résumé de l’histoir car c’est un poil confus dans mon esprit. Apparemment, Nagi est possédé par Susanoo qui est lui-même invoqué par Kago (le père de Nagi).
Le combat entre Masataka et son frère se fini bien trop vite à mon goût du fait de l’arrivée à l’étage de Susanoo-Nagi.
Pendant ce temps, Maya est à poil, et la mère de Nagi également.
En fait, pour moi, ce tome est essentiellement orienté fan-service ^^ (encore plus que depuis le début de cette série ^^)
Mais je critique sans critiquer puisque bon, c’est quand même pour ça qu’on l’achète et que l’« histoire » avance tout de même. On assiste à une sorte de rédemption de Mitsuomi (un peu niais le passage, d’ailleurs…) et le duel Susanoo-Nagi est imminent. Peut-être bientôt le bout du tunnel ??? (EDIT : Il semblerait que oui puisque la fin devrait être publiée en septembre dans le magasine de prépub’…)
Bref, un tome que je qualifierais d’« intéressant », en tout cas bien supérieur au précédent !!!
J’attendrais sans doute que le 22ème et dernier tome sorte pour me procurer ce tome (d’occaz’ bien entendu). Enfin si d’ici là je réussis à me convaincre de tout relire pour essayer de comprendre.
Sinon, plus ou moins d’accord avec vous sur le tome 3 de 7 milliards d’aiguilles, même si c’est loin d’être mauvais. Je pense qu’il va falloir attendre le dernier tome pour voir si l’auteur réussit à nous sortir quelque chose de cohérent. (la critique, ce sera pour quand j’aurais le courage de la faire…)
Réédition annoncée par Panini :
Voila comme dit dans la dernière critique d’Ivan du tome 20 d’Enfer & Paradis, peu de personnes arrivent à se rappeler de l’histoire dans l’ensemble, je me suis donc proposé à réaliser un résumé.
Toutefois, il se trouve que Sorata a emprunté tous mes volumes de Ten-ten et un ami m’a emprunté le dernier volume. Je vous propose donc de m’aider à peaufiner le résumé que je vais faire de tête (voir même le corriger)…
Avant tout, je pense que le secret pour comprendre les oeuvres d’Oh Great est de ne pas se laisser emporter par les envolés philosophiques du mangaka (surtout qu’il va très loin enfin bon…).
Bon l’histoire commence avec l’arrivée de nos deux supposés héros dans leur nouveau lycée : Soichiro Nagi et Bob Makihara, deux loubards qui aiment la castagne en tout genre et qui souhaitent devenir en quelque sorte les rois de leur nouvelle école. Donc forcement, dès leur arrivée, ils se battent contre tout le monde.
Sauf que ce lycée n’est pas conforme, il réunit des experts en Arts martiaux. Ainsi, nos deux protagonistes tombent sur Maya Natsume et Masataka Takayanagi qui les battent à plate couture (lors de la défaite, de Soichiro face à Maya, celui ci tombe du haut du lycée pour se retrouver dans les douches du repaire des Natsume, devant Aya Natsume -petite soeur de Maya- nue qui du coup souhaite faire de Soichiro son mari…).
Après cette défaite, Bob et Nagi rejoignent Natsume dans le club du Juken (à modifier) afin de devenir plus fort. Après l’entrainement, les membres du club fêtent la fin de ce dernier dans un bowling.
Mais la fête est perturbée par l’attaque du club des exécuteurs (club assurant la sécurité du lycée). Après une série de combats, Soichiro se retrouve face au chef du club des exécuteurs : Mitsuomi Takayanagi - grand frère de Masataka, montagne de muscles sur pattes- qui « écrase Nagi et ses compères » jusqu’à l’arrivée de Maya qui interrompt le combat et du coup l’assaut du club des exécuteurs.
Suite à cette attaque, on assiste à un très long flashback, dans lequel on découvre :
- la passé des Natsume, nottamment du grand frère de Maya Shin ;
- Le tournoi des clubs pour devenir le club des exécuteurs ;
- Le pouvoir de l’oeil du dragon ;
- Le katana Reiki ;
- La raison de la force de Mitsuomi ;
- L’importance de la famille Takayanagi, l’aile blanche (personnes maitrisant des arts martiaux spécifiques) et l’aile rouge (personnes possédant des pouvoirs du dragon) des Takayanagi;
- Surtout la détermination du père de Mitsuomi à transformer son fils en guerrier ultime -extrêmement important-
A la suite de ce récit, Maya concocte un nouvel entrainement pour Bob et Soichiro pour les préparer au tournoi des clubs pour affronter le club des exécuteurs (Bob devient alors totalement inutile dans le manga à partir de ce moment). Ce dernier est envoyé chez le père de Mitsuomi qui révèle (de manière musclée) le réél pouvoir du clan des Nagi -le poing du dragon il me semble-.
Pendant son entrainement, Soichiro est attaqué par une feather (guerrier d’élite du club des exécuteurs appartenant à l’aile rouge et maitrisant un dragon spécifique). Après un combat magnifique (mon préféré à vrai dire), les deux combattants se retrouvent à l’hôpital.
Après rétablissement et entrainement fini, on découvre que les feather veulent exterminer une branche annexe de l’aile rouge pour récupérer une puce contenant des données sur toute l’aile rouge des Takayanagi. Soichiro et Aya (ainsi que E.T.) décident d’aller les aider. Après plusieurs évènements, Nagi finit par affronter la feather (je ne me rappelle plus du nom). Lors de ce combat, on découvre le véritable pouvoir de Soichiro : il peut absorber les dragons de toute l’aile rouge. Grace à ce dernier, il bat son ennemi mais finit tout de même à l’hopital.
C’est alors qu’intervient un nouveau protagoniste, Sohako Kago (à corriger si j’ai faux), le père de Soichiro, qui enlève son fils à l’hôpital. Maya et Mitsuomi décident d’aller le secourir.
Lors de cet arc, on découvre :
- la nature de Sohako, chef la l’aile rouge des Takayanagi, qui souhaite réunir tous les pouvoirs de l’aile rouge dans une même personne pour ressuciter Susanoo (je crois que c’est le bon nom, à corriger sinon);
- Le passé funeste de Sohako et son lien avec les Nagi
- La véritable nature du Reiki;
- Le pouvoir qui neutralise les dragons de l’aile rouge -un truc dans le genre- (pourrais je avoir le nom de ce dernier?.. c’est celui où il y a une flamme sur la poitrine)
- Le but de Sohako : rassembler tous les dragons dans Soichiro;
Enfin à la fin de cet arc, Maya est emprisonné dans le Reiki (et donc inconciente), Mitsuomi finit par tuer Sohako. Mais étant donné que celui ci est immortel -il semble qu’il puisse vivre à travers son oeil-, il investit le corps de Soichiro en injectant son oeil dans le lobe droit de Soichiro.
(Punaise déjà une heure à écrire tout ça)
Soichiro est revenu dans le club de Juken (c’est devenu un monstre depuis le dernier arc) et il semble que Nagi est toujours maitre de son corps. De plus, Mitsuomi semble sur le point de mourir et se fait remplacer par un membre de l’aile rouge qui l’imite en tout point (même au niveau force physique). Le tournoi des clubs commencent enfin et le club de Juken bat tous les clubs malgré l’intervention de certains protagonistes qui perturbent le tournoi.
Finalement, Nagi et Masataka décident d’aller attaquer le club des exécuteurs chez Mitsuomi. Ainsi, Masataka finit par affronter Mitsuomi, pendant que Nagi affronte une feather. Ce dernier finit par perdre contrôle de son corps et Sohako réveille l’ensemble des pouvoirs de l’aile rouge : on assiste à la résurrection de Sosano. Mitsuomi qui s’était entrainé toute sa vie pour vivre un tel moment s’empresse de l’affronter. Bien qu’au début, Mitsuomi se révèle ridicule, il finit par devenir bien plus fort au point de devenir le guerrier ultime.
Voila à la fin du tome 20, on en est la. Le papa Takayanagi et Sohako ont chacun réussi leur objectif : d’une part créé le guerrier ultime et de l’autre rassembler les pouvoirs de l’aile rouge en une même personne.*
Il faut aussi noter que rassembler les pouvoirs de l’aile rouge était aussi le plan de l’ancêtre Nagi (cf. le flashback du moyen age) et que Maya se révèle être celle qui a le pouvoir qui neutralise les dragons (je me rappelle plus du tout du nom, n’est ce pas la prêtesse de … a compléter). A mon avis, ces deux faits vont être utiles pour la suite.
Bon j’espère que c’est assez clair, posez des questions, apportez moi les informations restantes, j’essaierais d’y répondre dans la mesure du possible étant donné que j’ai prêté tous mes tomes…
Ralalala, y a tout un tas de trucs dont je ne me souviens pas… 
Mais c’est fort instructif et je crois que je comprend (un peu) mieux désormais. Faudrait que je recoupe ça avec ce qu’avait dit Syae.
Merci encore. 
Bah de rien, c’est clair que ça doit être dur de suivre un manga annuel avec toutes les séries que tu suis…
Bon, je me voyais mal faire une critique de ce tome donc je préfère laisser mon avis succinct sur ce volume de cette manière… 
Tout d’abord, comme pour toute série dont le rythme est d’un tome par an, il est difficile de se remettre dans le bain et d’avoir en tête les évènements précédents. Et avec Enfer et Paradis, il faut multiplier ce handicap par 100 (voir plus) tellement le récit est parti dans tous les sens… Un résumé de ce qui est arrivé avant ? Pour cela, rien de mieux que celui disponible sur la page-sommaire du tome : Mitsuomi a vaincu Bunshichi, Soiichiro Nagi se retrouve face aux frères Kabane (mais c’est qui ceux-là ?!! M’en souviens plus du tout du tout 
) et se transforme en « vrai guerrier » (celui qu’on appelle Susanoo a priori, enfin je crois… re- ). Bref, voilà où on en est. Ha oui, il semble que tout cela soit la suite de l’affrontement entre les deux clans du lycée Toudou : d’un côté les exécuteurs (Mitsuomi et ses comparses), de l’autre le clan de Juken (de Maya Natsume). Enfin, il semble que ce soit ça…( oui, vous l’aurez compris, je suis un peu perdu et il est hors de question que je me retape un seul des 19 premiers volumes en espérant que cela arrangera les choses 
).
Passons aux évènements de ce tome : Masataka se dresse face à son frère, Soiichiro/Susanoo explose les frères Kabane puis se retrouve face à Mitsuomi… En résumé, ce doit être à peu près ça.
Plusieurs petits soucis niveau narration une nouvelle fois : on passe d’une sorte de « conflit intérieur » chez Soiichiro aux combats (celui de Masataka/Mitsuomi et de Susanoo/Kabane’s brothers), en passant par des flash-backs, une scène coquine (qui arrive sans préambule, pour faire le quota quoi), un passage avec la femme tronc… Bref, ça part dans tous les sens, comme d’hab’, et ça n’arrange pas mes affaires, loin de là (je ne vais pas jusqu’à verser des larmes de désespoir, mais bon, pas loin quand même 
)
Mais tout n’est évidemment pas à jeter dans ce tome. On a bien entendu droit à quelques planches réellement somptueuses (toutes les doubles pages de ce volume le sont), mais aussi à un passage totalement réussi : l’apparition de Susanoo devant Mitsuomi et les autres est vraiment impressionnante et l’on frémit également à sa lecture. Le meilleur passage du volume, assurément. Le reste, ben, ça se lit, on essaie de ne pas se perdre, même si cela reste très difficile (puis bon, moi, je suis déjà perdu depuis longtemps donc…).
La fin se fait sentir, même s’il est bien sûr difficile d’en être sûr… L’édition de Panini est dans les normes Paniniennes mais on se demande encore pourquoi Enfer et Paradis fait encore partie des seuls titres (avec Gunnm chez Glénat) à paraitre en sens de lecture occidentale… (et forcément, quand Mitsuomi se frappe le coeur du poing, on a l’impression qu’il a le corps de Souther, ou d’Emmanuel Petit pour les plus footeux d’entre vous )
Un petit 6/10, parce que j’ai du mal à mettre plus à un titre dont je n’arrive pas à tout comprendre (et c’est un remarquable euphémisme de le dire). Je compte donc sur vous pour éclairer ma lanterne… Apportez-moi vos lumières siouplait !!!
EDIT : c’est loin d’être succinct finalement…
Je peux pas t’aider non plus, désolé. Jamais vu une histoire aussi brouillonne.
Tant qu’à faire, « officialise » cette critique, c’est toujours ça de pris pour remplir ton quota, non ?
Impressions identiques… Des planches souvent belles mais on est totalement perdu …
le pire c’est que je me demande si OH great! ne se perd pas lui-même dans son histoire , dès fois je me demande même ou est passé le scénario assez simple du début , à force de vouloir mettre de la philosophie (et encore ça fait plus souvent philosophie de comptoir de bistro) pour essayer de faire oublier qu’il était un auteur de hentai (tout en mettant régulièrement des scènes de fion parfaitement inutiles …drôle de paradoxe) ça rime vraiment plus à rien
au début ça passait mais à force de vouloir étoffer perpétuellement un scénario incompréhensible on dirait qu’il oublie lui même de quoi parlait les volumes précédents , et donne libre court à n’importe lesquelles de ses idées … d’où une multiplication de syncrétismes absolument indigestes entre philosophie orientale/européenne, combat barbare/philosophie du combat et fion/sérieux… on se demande si on va avoir une fin ressemblant vraiment à quelque chose (je me fais pas d’illusions là dessus, c’est une des nombreuses raisons qui m’a fait vendre cette série il y a 4 ans … au volume 14…)
en fait … enfer et paradis ça veut rien dire …
Houlà, le tome 20. Tu as eu déjà bien du courage Ivan pour aller jusque là.
Moi, cela fait déjà plusieurs tomes que j’ai lâché ce titre. Et apparemment, j’ai plutôt bien fait 