Ce …Et justice est pour tous une longue descente aux enfers. Aussi bien pour les personnages que pour le lecteur.Rien ni personne n’est épargné et il fallait au moins ça pour aller jusqu’au bout.
Les références politiques,sociales et musicales sont toujours aussi présentes pour notre plus grand plaisir. ça ancre comme rarement le récit. tout comme cette écriture visuelle.Ces « effets » sont vraiment un des points forts de la trilogie.
Si Sale temps pour le pays et Adieu demain nous avaient laissé KO pour le compte, là c’est encore 2 ou 3 crans au-dessus.
Michaël clôt sa trilogie anglaise avec maestria et fureur.