Calqué sur Ère Comprimée, mais lorgnant vers des genres différents (horreur, fantasy), Fantastik suit un parcours voisin, avec une exploration des différentes sources possibles, y compris européennes.
Le sommaire se veut thématique (la femme, les guerriers, Lovecraft, Hollywood…), et un certain goût pour les peintures de Boris (Vallejo) explique que celles-ci fassent la couverture à plusieurs reprises. Fatalement, quand on ne partage pas cette appétence, ça n’aide pas.
Jim