FORT ALAMO (Mathieu Gabella / Ronan Toulhoat, Paolo Martinello)

Fort Alamo

La victoire ou la mort !

Indépendant depuis 1821, le Mexique, faute de ressources suffisantes pour mettre en valeur ses territoires situés au nord du Rio Grande, a fait le choix d’ouvrir le Texas à la colonisation étrangère. Pour la majorité, originaires des États-Unis voisins, plus de trente mille colons s’installent ainsi à demeure dans ce nouvel eldorado, faisant peu de cas de l’autorité lointaine et instable de Mexico. Peu à peu, les Anglos, comme on les surnomme, font valoir le droit à l’autodétermination et résistent à un pouvoir de plus en plus centralisateur. À l’automne 1835, les graines de la rébellion sont semées et s’enclenche une lutte pour l’indépendance. Souhaitant défendre l’intégrité de son pays, le général Santa Anna prend la tête d’un puissant corps expéditionnaire pour anéantir une insurrection qui, sans armée, sans argent et sans gouvernement légal, s’apparente à une coquille vide. Or, contre toute attente, les Texans prennent la décision de défendre la ville de San Antonio, d’une grande valeur stratégique en raison de sa position avancée. Sous les ordres du lieutenant-colonel William Travis et de l’aventurier Jim Bowie, bientôt rejoints par le célèbre Davy Crockett, près de cent soixante hommes se retranchent derrière les murs délabrés et hâtivement fortifiés de l’Alamo, une vieille mission franciscaine. Le 24 février 1836, l’arrivée des troupes mexicaines, plus de dix fois supérieures en nombre, prend totalement au dépourvu la garnison…
Les treize jours du siège de Fort Alamo sont restés gravés dans la mémoire collective des Américains, incarnant autant une étape clé de la construction nationale qu’une leçon de courage, de solidarité et de résolution face à l’adversité. Tant magnifié par le septième art, cet épisode dramatique fait aujourd’hui partie intégrante de la mythologie américaine et de la saga du Texas. Accompagnés par l’historien Farid Ameur, les auteurs Mathieu Gabella, Ronan Toulhoat et Paolo Martinello nous entraînent, au son du canon, dans un récit haletant et sanglant où s’entremêlent passion, politique et violence.

  • Éditeur ‏ : ‎ Glénat BD (21 mai 2025)
  • Langue ‏ : ‎ Français
  • Relié ‏ : ‎ 56 pages
  • ISBN-10 ‏ : ‎ 2344045945
  • ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2344045947
  • Poids de l’article ‏ : ‎ 788 g
1 « J'aime »

Rhooooooooooooooooooo

(tiens ca parle aux sages du coin, l’adaptation de la mini-série de Disney Davy Crockett ? Je l’ai lu dans le Journal de Mickey mais en dehors de la fin, Alamo donc, je m’en rappelle pas en dehors des dessins qui était cool)

Ça me parle vaguement, ouais…
C’était un strip, non ?
Je retombe sur cette image, une planche par Jesse Marsh :

Ça correspondrait à tes souvenirs ?

Jim

Non je ne ne pense pas que c’était un strip. Plus une BD dans la même veine que celles de Zorro

Je me demande si ca serait plus plus en lien avec Les Nouvelles Aventures de Davy Crockett, une série de 1988

La véritable histoire de Davy Crocket ?


Tori.

Ah ouais, donc largement après la période où j’étais lecteur.

J’ai aussi pensé à Marcello (je sais pas pourquoi, mais j’aime beaucoup Marcello au point de l’associer à tous mes souvenirs d’enfance), mais ce récit vient de la série Histoires du Far West, et ça, c’était Larousse. Ça n’est pas passé dans Le Journal de Mickey, si ?

Jim

Si, en deux parties, en 1986.

Journal de Mickey 1755 et 1756… La couv du 1755 :


Tori.

Ah tiens.
Alors ça peut correspondre à ce que recherche notre Seigneur de Babylone.

Jim

Ouais vu le dessin c’est très probablement ça

edit : la dernière page avec la mort de Crockett qui hurle « souvenez-vous d’Alamo » m’avais marqué et vu le style de la page que tu montres je pense que c’est cela.

Merci

C’est un peu le bruit que j’émets quand il s’agit de Fort Alamo.
Le film de John Wayne m’a profondément marqué gamin (et à chaque fois que je le revois, je suis épaté par le nombre de séquences d’anthologie qu’il contient, et pas que dans les scènes de baston).
C’est peut-être mon premier contact avec une histoire type « last stand », aussi : avant Roncevaux, avant Stalingrad, avant Camerone, avant les Cadets de Saumur…

Jim

Je crois que c’est pareil pour moi et on en avait déjà parlé je crois (sur le sujet consacré à David Gemmell il me semble). J’ai du le voir vers 10 ans lors d’un été (et probable que je mélange mais il me semble aussi avoir découvert Les 7 mercenaires à ce moment là) et j’ai totalement accroché. Plein de scène et cette idée de faire front même en sachant l’issue inéluctable m’avait totalement conquis ainsi que la disproportion entre les assiégés et les assiégeants.

Je suis pas étonné ensuite d’avoir autant aimer la bataille du gouffre de Helm en lisant le Seigneur des anneaux.

Et aussi en s’associant à des gens qu’on ne fréquenterait pas dans d’autres conditions. Le trio Wayne / Widmark / Harvey incarne trois personnages qui sont autant de conceptions de l’héroïsme, mues par des raisons différentes, voire opposées. Et ils ne se privent pas de se crêper le chignon dans le film, quasiment jusqu’à la fin. Et en même temps, tu sens le respect qui naît entre eux, le délicat terrain commun qui fait qu’ils se battront jusqu’au bout ensemble.

Jim

J’ai surtout hâte de voir les pages intérieures.

Pareil : je me demande quel rôle occupe chacun des illustrateurs.

Jim

Aussi.

Sur le compte Facebook des Éditions Glénat, le 21 avril 2025 :

🏜️ RÉVÉLATION COUVERTURE : FORT ALAMO, par Mathieu Gabella, Ronan Toulhoat, Paolo Martinello & Martina Pignedoli

Sous les ordres du lieutenant-colonel William Travis et de l’aventurier Jim Bowie, bientôt rejoints par le célèbre Davy Crockett, près de cent soixante hommes se retranchent derrière les murs délabrés et hâtivement fortifiés de l’Alamo, une vieille mission franciscaine.

Le 24 février 1836, l’arrivée des troupes mexicaines, plus de dix fois supérieures en nombre, prend totalement au dépourvu la garnison…

🔜 En librairie le 21 mai 2025

Jim

Extrait :

Jim

Sur le compte Facebook des Éditions Glénat, le 21 mai 2025 :

🌵Sous les ordres de William Travis et de l’aventurier Jim Bowie, bientôt rejoints par le célèbre Davy Crockett, près de cent soixante hommes se retranchent derrière les murs délabrés et hâtivement fortifiés de l’Alamo, une vieille mission franciscaine.

Le 24 février 1836, l’arrivée des troupes mexicaines, plus de dix fois supérieures en nombre, prend totalement au dépourvu la garnison…

📕 FORT ALAMO, par Mathieu Gabella, Ronan Toulhoat, Paolo Martinello et Martina Pignedoli.

🔗 À découvrir dans la collection « La véritable histoire du Far-West »

Jim