Ce fameux S, qui est sans doute bien l’initiale de soyouz…
Tori.
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Merci
(Fais chier Zuckenberg)
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C’est ton père ?
(ce twist de ouf)
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Et je l’en remercie tellement!
Punaise … tous ces S de Soyouz …
(merci)
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Non… mon ex !
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Sur le compte Facebook de Marlène Zweig, le 21 août 2025 :
« Frédéric,William et l Amazone »T.Thierry Olivier et J.M Lainé.
A decouvrir entre Noir Lavis et Planches couleurs ,deux psys dans l’Amerique retro .
Par temps de canicule qui favorise l’introspection.L’introduction des planches couleurs est une réussite dans les perceptions,qui renvoit à une sphere psychanalytique entre, le rouge qui decrit la personnalité paranoiaque de Frederic ,et le Bleu qui contraste et ramene la paix incarnée par William..
Comme le rouge de Frederic pour les obsessions,ses fantasmes de violence,ou ses crises interieures (sang scenes distordues ,couvertures hallucinées) .
La paranoia est bien décrite en cela .
Elle injecte une lecture émotionnelle tant dans les cauchemars que ses phobies et ruminations qui ajoute une force narrative et symbolique(le symbolique important en psychanalyse)Le rouge chargé d’angoisse et le bleu serein deviennent presque « des voies interieures » ,qui reproduisent la psyché et leur clivage.
Le lavis du dessinateur Thierry Olivier est une (technique difficile .Ce la donne du volume de la profondeur ,et renforce l’atmosphere retro et angoissante de l’epoque et permet un jeu d’ombres et de lumiere (scenes introspectives ,les interrogatoires ou les scenes inquietantes ) comme dans les films noirs .
Oui,La psychiatrie est bien abordée dans cette bd originale ,notamment dans les vies interieures tourmentées des personnages .
Il y a une exploration des reflexions psychologiques et de la maniere dont l’environnement et les relations influencent l’ etat mental.
C’est un aspect marquant du recit harmonieux entre vous et Lainé, et qui tient en haleine.Cette bd explore bien la fragilité psychologique des personnages ,Frederic et William,au travers de leurs pensées interieures et leurs fragilités internes.
on plonge dans leurs conflits psychiques ,leurs doutes et la maniere dont ils percoivent le monde.Le recit aborde les themes de la solitude et de l’isolement,et comment ces facteurs peuvent amener a une détresse mentale,
ainsi que la complexité de l’esprit humain avec une forte dimension psychologique qui nous ressemble.Le lecteur peut s’identifier.C’est une facon subtile de montrer comment les epreuves exterieures refletent et amplifient les tourments interieurs .
Les thématiques de l’histoire tournent autour de l’identité,la tension entre les aspirations personnelles et les attentes sociales,le passage aussi a l’age adulte.
Comment rester fidele a soi meme dans un environnement qui nous pousse a nous conformer.L’amitié et la loyauté jouent un grand role,dans les valeurs et les compromis. il y a une dimension de résilience,ou les personnages apprennent a grandir en surmontant les épreuves et a s’épanouir en quete d’identité ou de sens dans leurs vies tiraillés entre les ambitions et les attentes exterieures ;
La vue sur New york au début avec son architecture urbaine,ses reverberes d’époque,le tramways et facade d’immeubles et tous ces petits détails orchestres,avant le déroulement de l’histoire ,est cette porte d’entrée ;
et le Kiosque a journaux..sorte "de permanence de l’objet"comme on dit en psycho,rassure,tout le long du déroulement de l’histoire ,qui évolue .
Le Chapitre Albert Fish est phénoménal ,comme une qualité d’expert juridique en psychanalyse et deviances humaines..Et cette planche de clou sang sorte" de passage a l’acte" des grands criminels dans leur confusion ou psychose.
Jim
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Dis donc 
Je serai présent au petit salon « Des Bulles et du houblon » à Saint-lô, le 4 octobre 2025, en compagnie d’une belle brochette d’auteurs normands.
(affiche par Denis Renard)
Venez nombreux !
Jim
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Pour rappel, c’est ce week-end qu’a lieu le festival BD de Lexy, en Meurthe-et-Moselle.
C’est une « spéciale super-héros », et parmi les auteurs, on retrouve quelques auteurs de « super-héros à la française », dont Paskal Millet (Garde Républicain et Fantax), Jim Dandy (Captain LSD), Cyril Bouquet (Festival Illustré), Thierry Olivier (Zembla, Garde Républicain, Fredric, William et l’Amazone) et votre humble serviteur.
Paskal Millet a réalisé la magnifique affiche présentant de nombreux justiciers costumés hexagonaux.
Jim
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Les dernières images correspondent à la partie célébration / discours / vin d’honneur à la fin de la journée de samedi. Le monsieur dégarni à ma droite sur la première, c’est l’organisateur, Marc Jakubowski, qui est également scénariste d’adaptations de récits julesverniens.
Sur les autres, le monsieur à doudoune, c’est le maire de Lexy (qui a dû être maire de Champignac dans une vie passée si l’on se fit à son discours).
J’étais donc invité d’honneur, et les auteurs que j’ai proposés se sont retrouvés avec le même statut (d’où les paniers garnis) mais la sélection des auteurs (incomplète : l’un d’eux s’est désisté assez tard, pour raisons de santé…) me rappelle que la première équipe que j’avais en tête était différente : mais entre ceux qui n’étaient pas dispos, ceux qui étaient charrette et ne pouvaient pas se libérer, ceux qui étaient trop loin, le casting a changé plusieurs fois avant de se fixer sur cette équipe. Et là, en voyant les photos, j’ai l’impression d’être Hawkeye à la fin d’Avengers #16.
Chouette souvenir, merci pour les photos.
Jim
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On a failli attendre.
Dit le mec qui met dix heures à répondre !
Jim
Faudra que j’en parle à mon chef.
Voilà. Qu’il sache. Non mais.
Jim
la réponse est non.