For two generations, the rural hill town of Grendel, Kentucky has honored its Faustian bargain with the monster living in its abandoned coal mine: a human sacrifice every season in return for agrarian prosperity the likes of which this rocky region had never before seen (including its greatest cash crop: the dankest weed in the land). When one town elder breaks this pact, Grendel’s only hope is that its prodigal daughter will return home to face down the creature of her nightmares—and bring her all-female biker gang with her.
For two generations, the rural hill town of Grendel, Kentucky has honored its Faustian bargain with the monster living in its abandoned coal mine: a human sacrifice every season in return for agrarian prosperity the likes of which this rocky region had never before seen (including its greatest cash crop: the dankest weed in the land). When one town elder breaks this pact, Grendel’s only hope is that its prodigal daughter will return home to face down the creature of her nightmares-and bring her all-female biker gang with her.
For two generations, the rural hill town of Grendel, Kentucky has honored its Faustian bargain with the monster living in its abandoned coal mine: a human sacrifice every season in return for agrarian prosperity the likes of which this rocky region had never before seen (including its greatest cash crop: the dankest weed in the land). When one town elder breaks this pact, Grendel’s only hope is that its prodigal daughter will return home to face down the creature of her nightmares - and bring her all-female biker gang with her.
Les présentations de leurs titres aussi bien à l’écriture qu’au dessin donnent envie… J’aimerais que nos amis d’Hicomics par exemple prennent ça en main, ils font des produits de qualité
Il y a peut être quelques titres qui peuvent l’être comme the résistance ou year zéro ou même hotell ou bad Mother peut être… Je ne sais pas aux États Unis si ça a suscité assez d’intérêt pour voir de bonnes ventes…
Ce qui fonctionne aux US ne va pas forcément fonctionner en france attention, en france c’est un marché de niche le comics. Les éditeurs ont cru que lors du boom avec les New 52 c’était la fête, mais depuis, c’est finis et si un éditeur veut survivre il faut qu’il fasse attention a ce qu’il sort et c’est pas évident.
je ne dis pas que c’est la définition, simplement que les sorties de titres qui ont l’air bien et font un vide, mais on s’en fout, c’est plus d’actualités.
Quand à un marché saturé pour les comics je dirais que le marché est à son stade normal. Il a été comme je le dis dans mon message précédent, plus gros, mais aussi plus petit, là c’est sa taille normal.
Pour faire un peu de HS sur le sujet, repart de marché des trois gros sont d’ailleurs normale. 10% comics, 30% manga et 60% FB. Ce qui est plus ou moins la norme standard. avec quelques variations, mais qui ne dure jamais trop longtemps.
Les pourcentages de ventes et de part de marché ne traduisent pas spécialement si un marché est saturé ou non. Le message de mon bon maitre est surtout que lorsqu’un marché n’a plus la place pour amener de nouvelles séries et ou univers, ça ressemble à un marché saturé.
Pour moi, le marché des comics n’est plus un marché de niche : le nombre des intervenants, le nombre des références, même si certaines se plantent, tout cela constitue un tel volume qu’on peut difficilement l’envisager comme un phénomène périphérique. Ensuite, il y a les meilleures ventes (et quel que soit le marché, comics, manga, franco-belge ou autre chose, on sait très bien que les meilleures ventes, c’est toujours l’arbre qui cache la forêt). Elles sont chouettes, les meilleures ventes. Il me semble que les meilleurs Batman font 40 000 à la nouveauté (je parie que certains Star Wars ou X-Men font pareil, ou d’autres trucs auxquels je ne pense pas…). Je connais quelques bédéastes français qui vivent bien et produisent régulièrement, et qui rêveraient quand même que leurs albums fassent 40 000 à la nouveauté.
Pour résumer mon propos, je crois que derrière l’expression « marché de niche » se cache une réalité qui est restée bloquée il y a vingt ans, quand les super-héros accédaient tous les mois à l’album grâce à Semic et Panini, et où 5000 ventes, c’était un succès. Aujourd’hui, tant par l’éventail des sorties que par les chiffres des meilleures ventes, on a largement dépassé ce stade.
Après, oui, chaque éditeur bien en vue a dans son catalogue comics des albums qui vendent 500 ou 800 exemplaires. C’est évident. Mais c’est pareil en franco-belge.
Quant au marché de niche, sur les produits risqués, il se trouve désormais dans le financement participatif, à l’exemple de certains projets de Komics Initiative. Et là aussi, la technologie et les habitudes de consommation ont fait évoluer l’offre.
Hm si on est à 10% du marché de la BD, on pourrait se poser la question, mais avec la fin de walking dead je suis étonné qu’on soit à 10% encore aujourd’hui, (après si ça se trouve ils comptent les softcovers non comptabilisés avant car presse ?)