Couverture de Ronan Toulhoat pour l’édition FNAC :
Quelques pages :
« Le Conteur » par Paul Gastine :
« Les deux frères » par Stefano Carloni :
« El Dandy » par Félix Meynet :
« Immortels » par Ronan Toulhoat (couleurs par Jack Manini) :
« La Goule de Gettysburgh » par Laurent Hirn :
« L’Arche publique » par Éric Hérenguel (couleurs par Jack Manini) :
« Apache Kid » par Christian Rossi :
« Toujours debout » par Benjamin Blasco-Martinez (couleurs par Émilie Beaud) :
« Black Evil » par Olivier Vatine :
« Little Arkansas » par Hugues Labiano (couleurs par Jérôme Maffre) :
« La Ville qui pendit un éléphant » par Jef et Nicoals Dumontheuil (couleurs par Jef et Jean-Jacques Rouger) :
« La Veuve » par Dominique Bertail :
Jim
Histoire inspirée de faits réels : Mary (éléphant) — Wikipédia
Tori.
Très sympa.
Quelques chouettes morceaux (j’aime beaucoup l’histoire de Vatine, par exemple)…
… avec un rythme et des chutes assez maîtrisés (à ce titre, celle de Bertail est bien cool…). Graphiquement, le niveau est très chouette.
Je note que les couleurs de Manini conviennent très bien à Ronan Toulhoat (c’était la même chose dans l’anthologie précédente, mais je ne l’ai pas encore lue, elle s’est perdue depuis un an dans une pile) et à Éric Hérenguel.
Le fil rouge, c’est un jeune voleur qui vient braquer une armurerie. Les textes accompagnant les présentations de chaque histoire continuent le récit jusqu’au chapitre de fermeture, et c’est encore Paul Gastine qui s’y colle, et il fait ça à merveille.
Très chouette anthologie.
Jim
J’ai vu passer les couvertures sur un post de Patrick Dumas, sur FB. Elles sont vraiment canons. Je vais voir ça…
Canon est le mot qui convient, pour une BD intitulée Gunmen of the West…
Tori.
Celle de Paul Gastine pour la version noir & blanc est vraiment hallucinante.
Moi, j’ai pris la classique, par Laurent Hirn.
Jim
L"edition augmentée de la librairie Bulle au Mans.
Tiburce Oger a évoqué son prochain collectif western, le quatrième…
Ralph Meyer, sur son compte Facebook le 2 mai 2024 :
Variant cover pour le prochain collectif de Tiburce Oger .
À suivre, donc…
Jim