HULK : BLOOD HUNT (Phillip Kennedy Johnson / Danny Earls)

HULK: BLOOD HUNT #1
Written by PHILLIP KENNEDY JOHNSON
Art by DANNY EARLS
Cover by JOSHUA CASSARA
On Sale 7/10

In HULK: BLOOD HUNT, Hulk and Banner’s quest to save Charlie’s soul leads them through the Old West town of Old Tucson, population of one… but the last man in town has a heck of a story to tell. Before the night ends, Hulk and Banner will learn that there’s a lot more than meets the eye in Old Tucson, and that there’s a lot more under the desert floor than either of them could have guessed. Don’t miss this spine-chilling chapter of BLOOD HUNT!

(W) Phillip Kennedy Johnson (A) Danny Earls (CA) Joshua Cassara

WHAT LIES BENEATH!
Hulk and Banner’s quest to save Charlie’s soul leads them through the Old West town of OLD TUCSON, population of one… but the last man in town has a heck of a story to tell. Before the night ends, Hulk and Banner will learn that there’s a lot more than meets the eye in Old Tucson, and that there’s a lot more under the desert floor than either of them could have guessed. Don’t miss this spine-chilling chapter of the BLOOD HUNT event!
Rated T+

In Shops: Jul 10, 2024

SRP: $4.99

J’aime bien ces one-shots tie-ins d’un événement, qui viennent surfer sur une série en cours sans la parasiter. Encore plus quand le scénariste de celle-ci écrit le tie-in, ça garde du sens et de l’intérêt.
Ici, Phillip Kennedy Johnson montre l’errance de Bruce Banner vers Las Vegas pour sauver la jeune Charlie d’un sortilège l’ayant bloquée sous forme de poupée. Il arrive à Old Tucson, les studios de cinéma des westerns de l’âge d’or. Il y rencontre Miguel, émigré mexicain vivant ici depuis 50 ans, après avoir survécu à sa famille qui a été happée par des Vampires souterrains en pleine migration. Il explique tout ça Bruce et s’excuse, car sa famille est finalement libre durant Blood Hunt et ils veulent le dévorer. Hulk se fait attendre puis sort et les tue, sans répondre à leurs espoirs que Miguel ait eu finalement une vie meilleure.
C’est bien, oui. Phillip Kennedy Johnson détourne un peu Blood Hunt pour surfer encore sur ses monstres cachés de l’Amérique, mais c’est cool. Son récit est prévisible mais bon, efficace, avec des dessins irréguliers de Danny Earls, capable de superbes illustrations terrifiantes et des panels moyens.

Anecdotique mais sympathique, et dans le ton de la série mère.

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Je suis bien content de ne pas avoir préco ce one-shot, les pages intérieurs consacrées à Hulk sont hideuses…

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