Tu es sans pitié, Fred.
THE HUMAN TARGET #9
Written by: Tom King.
Art by: Greg Smallwood.
Covers by: Greg Smallwood, Cully Hamner, Francesco Francavilla.
Description: Christopher Chance has only a few days left to solve his own murder. His investigation has been bumpy to say the least, but will the murder of Guy Gardner finally catch up to the Human Target and end his search before the poison ends his life? Once Batman learns of his ex-teammates, disappearance, can anything stop the Dark Knight from uncovering the truth?!
Pages: 40.
Price: $4.99.
Available: November 22.
Un épisode foutage de gueule…jusqu’à cette dernière bulle!
Ah que c’est beau mais l’épisode était un peu vide. En raison, la présence (comprendre l’absence) de Bats aux trousses de l’Homme Cible et de Ice…
Mon Dieu que c’est beau…
Tom King ; le nouveau Bendis qui s’est perdu dans la mécanisation d’un principe narratif toujours plus lent et pompeux.
Il peut mettre l’emphase sur la manière de raconter l’histoire autant qu’il veut mais si l’histoire n’a aucune substance, c’est qu’il n’a rien compris au Moore qu’il essaie de singer.
J’aurais dû compter le nombre d’années qui séparent aujourd’hui du moment où je l’ai dit la première fois…
Jim
Prends une calculette.
Written by: Tom King.
Art by: Greg Smallwood.
Covers by: Greg Smallwood, Alex Garner, Jeff Spokes.
Description: With only 48 hours left to unmask his murderer before he drops dead, the pieces are finally falling into place for Christopher Chance. But before he can solve his own killing, he must deal with the consequences of Guy Gardner’s. Enter G’nort and the Green Lantern Corps!
Pages: 40.
Price: $4.99.
Available: January 10.
Greg Smallwood est juste incroyable.
c’est clure
Oui, mais est-ce que j’ai envie de lire une page où un mec se sert un verre? Au delà de la performance graphique, ça fait peut-être un peu poseur.
Je lirai, mais j’espère que ce sera autre chose qu’un exercice de style.
Ou toute une page consacré à la chute d’un crachat dans un puit sans fond (toujours chez King).
ne lis pas alors!!!
Mais quel verre! Quelle transparence!!!
Ce sont des scénarii de Bendis que vous racontez là ?
Toujours à voir le verre à moitié vide… ~___^
Tori.
Oh que non
Oui tu veux
D’autant que ça a déjà été fait dans le premier épisode, mieux dessiné avec des textures adaptées pour travailler les volumes alors que là, dix épisodes plus tard, ce n’est même plus du minimalisme à ce niveau.
Plus je vois des pages dessinées, plus ce qui m’apparaît comme un côté bancal dans l’approche retient mon attention en parcourant les quelques pages. Les compositions de cases centrées à outrance sur les personnages - certes réussis car les lignes et les raccourcis captent les contours des gestes et des visages en conférant volume et expressions aux poses - ne masquent pas le minimalisme des décors quand ils ne sont pas réduits sommairement à quelques traits à peine esquissés. Comme c’est le cas d’éléments comme la bouteille (la jonction goulot-liquide ne donne pas le mouvement de déversement hors de la bouteille ou alors je ne comprends pas) et les verres dans la deuxième planche ci-dessus; la première planche fonctionne mieux parce que les textures appliquées sur les éléments donnent du relief et rendent bien compte des différentes valeurs de plans dans les cases. Mais pour la deuxième planche, les lignes qui s’entrechoquent et les formes délimitées avec des textures décalées peu adaptées donnent des cases en déséquilibre. Le jeu sur les couleurs et l’ambiance est intéressant, mais ça ne me semble pas fonctionner totalement dans le dessin.
Globalement, mettre autant le focus sur les personnages dans les compositions pourrait faire corps avec la dimension intime du récit si je ne percevais pas ça et là la répétitivité besogneuse - qu’elle vienne du script ou non - entre les zooms intempestifs, les gros plans, les éléments de décors à peine tracés (les fusils tout plats, le mobilier) qui semblent autant de raccourcis de composition pour gagner du temps.
Peut-être que sur la durée d’un épisode, il y a d’autres procédés mis en œuvre mais pour le peu que j’ai feuilleté, je vois assez souvent ce déséquilibre dans le dessin et le resserrement privilégié des cases autour des personnages qui ne me donnent pas envie de lire. Sans parler de l’étalage des séquences qu’on doit sans doute à des scripts très délayés.
Peut-être mais dans l’ambiance du book, c’est juste très réussi.
On est collé aux personnages comme une petite souris qui espionne.
D’ailleurs, l’ambiance est mieux réussie que l’histoire en elle-même qui est très simpliste.