Après G.I. Joe : Conspiration, le réalisateur Jon M. Chu va à nouveau adapter à l’écran un dessin animé des années 80 basé sur des figurines Hasbro : Jem et les Hologrammes.
Co-production américano-japonaise (notamment développée par Marvel Productions) centrée sur la rivalité entre Jem et les Hologrammes et les Misfits, deux groupes musicaux féminins, la série d’animation fut diffusée en France à partir de 1986 dans Vitamine et le Club Dorothée.
Audrey Peeples (Nashville) sera Jem. À ses côtés, Stefanie Scott (Flipped) sera Kimber, Hayley Kiyoko (The Fosters) sera Aja et Aurora Perrineau (Pretty Little Liars) jouera Shana.
Si je pense Juliette Lewis avec un micro, je songe à la reprise de « Hardly Wait », de PJ Harvey, dans Strange Days. Et j’ai des frissons dans l’échine.
Nom de Zeus. Pardon pour le copyright, Doc, mais là quand même on a à faire du lourd.
Cette bande-annonce est à elle seule une sacrée sonnette d’alarme pour la santé du cinéma américain. Bon, okay, au vu des noms au générique c’est pas non plus comme si on avait là du Orson Welles adaptant du Tolstoi, on est bien d’accord, mais quand même…
Figurez-vous qu’en sus ils ont trouvé moyen de virer tout le fun de ce truc kitschissime en omettant l’aspect surnaturel des choses, et l’espèce de Shazam qui donne ses pouvoirs à Jem. Pfffffff.
Oui, c’est bien possible. En fait je m’en souvenais pas du tout, mais je savais qu’il y avait un tour de passe-passe de ce type.
Du coup, j’ai revu le générique du dessin animé (« c’est nous les Misfits, on est les meilleures, c’est nous les Misfits » : quelle poilade) et j’ai laissé le vieux barbu pour un sorcier type Shazam. Mais il est vrai qu’il apparaît sur un écran d’ordinateur…
Ni sorcier, ni ordinateur ici, mais une success-story à la con qui s’annonce déjà bien ronge-tête à l’avance.
Pas d’hologrammes (pas vu la BA) !!?
Y’a quand même de quoi faire un truc marrant avec des nazes devenant des stars grâce à une machine !
Et puis les Misfits quoi !!