JOE GALAXY (Massimo Mattioli)

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Les aventures cosmiques et galères interstellaires de Joe Galaxy, improbable volatile en quête de richesse, rassemblées dans une édition intégrale à laquelle s’ajoutent plus de 100 pages d’inédits.

Né en 1970 dans les pages du magazine italien Il Male , Joe Galaxy est un animal anthropomorphe dont l’unique activité est de créer des business foireux. Transporter de la gélatine de contrebande, chasser des nounours antiques, traquer le hamburger des Baskerville ou bien cueillir des olives dans un showroom d’animaux préhistoriques. Action, humour noir, violence gratuite, gags idiots, sexualité minable… Mattioli s’attaque à l’un des genres les plus éminents de la pop culture : la science-fiction. Cette édition intégrale entièrement renumérisée reprend l’intégralité de l’édition proposée en France par Aedena en 1990, avec plus de cent pages inédites et des histoires dessinées a posteriori. Figure également dans ce volume le testament graphique de l’auteur, Planet Doris , une histoire publiée en 2018.

160 pages et un cahier de 16 pages
21 x 28 cm

N° coll : REV014
Prix TTC en France : 28 €
ISBN : 979-10-96119-41-7
Parution : mars 2021

MASSIMO MATTIOLI

Massimo Mattioli (1943-2019) est l’un des plus importants dessinateurs italiens de la bande dessinée contemporaine. Durant toute sa carrière, il a reçu de nombreux prix parmi les plus prestigieux. En France, Mattioli a notamment publié M le Magicien dans Pif Gadget et Squeak the Mouse dans L’Écho des savanes. Dans les années 1970 et 1980, le dessinateur comptait de nombreux fans, dont Mœbius.

Ah, moi, j’ai celui-là :

Sur mon exemplaire, c’est indiqué qu’il a été achevé d’imprimé en janvier 1987 et il y a un dépot légal en février 1987… Il doit y avoir une erreur dans leur résumé.

Tori.

Une approximation non surprenante.
Sinon tu as un avis sur le contenu de ton exemplaire ?

Ben c’est du Mattioli.
Comprendre que c’est foutraque, que ça part dans tous les sens, qu’il y a de la violence et de l’érotisme, mais avec un dessin très cartoon, que c’est bourré de références (à la BD, au cinéma ou aux dessins animés) et qu’il joue beaucoup avec le format et les codes de la BD.

Je ne vois pas trop comment décrire son travail autrement.

Tori.

Et tu as aimé ?

Ça dépend de mon humeur au moment de ma lecture… Je trouve ça parfois affligeant, parfois hilarant.

Tori.

Ce que je craignais un peu.