Et son upsidedown man me régale, il est trop mignon!
Faudrait en faire une peluche.
Jim
Tu sais déja en faire une figurine à coller au plafond, y a de quoi faire! 
On rigole mais il a de la gueule ce personnage, en termes de design.
Il tape bien.
(W) James Tynion IV (A) Alvaro Eduardo Martinez Bueno, Raul Fernandez, Brad Anderson (CA) Yanick Paquette
In Shops: Jan 29, 2020
SRP: $3.99It’s Wonder Woman versus Circe in an all-out brawl for the fate of the magical world! Does the Justice League Dark stand a chance against their evil counterparts? Maybe, but one of our heroes will have to make a deal with their greatest enemy to secure a power that could turn the tide of this Witching War! Will it be enough? Find out in the thrilling conclusion to this tale!
Source : www.graphicpolicy.com
Le #19 est le dernier épisode écrit par James Tynion IV. Le scénariste explique qu’il a décidé de se retirer de la série (alors qu’il n’avait pas terminé l’histoire qu’il avait prévu de raconter) à cause du rythme bimensuel de Batman.
Tomorrow, my last issue of Justice League Dark arrives on the stands. That fact breaks my heart, but I’ve been dancing around the truth for a while now, and the truth is that #19 is my last issue.
Back when I accepted the gig of Batman, as many of you remember from the press-release, it was supposed to be switching to a monthly title. My plan then was to keep writing Justice League Dark until the end of the story I set out to tell. I thought I would be able to land two planes at once. But once the decision was made to keep Batman biweekly, and suddenly I needed to get a whole story machine up and running in a bigger, bolder way… I knew I needed to step away from this book, or risk it becoming less than it should be.
Le britannique Ram V (These Savage Shores, Paradiso…) est le nouveau scénariste du titre.
Ouch, c’est un sale coup. Je comprends que bosser sur le titre Batman soit attractif, et les deux numéros que Tynion a produits jusque-là dessus sont plutôt sympas… mais pour l’instant il ne sont pas aussi originaux et accrocheurs que ce que le T4 a pu produire auparavant sur Detective Comics et sur cette Justice League Dark qui a quelque chose de vraiment singulier à proposer. C’est aussi une situation un peu bancale pour Ram V qui se retrouve propulsé sur une série régulière DC pour la première fois mais va devoir assurer la mise en place de choses prévues par un autre (visiblement Tynion restera en qualité de « co-plotter »). J’espère qu’il fera du bon boulot, mais c’est quand même pas une situation idéale tout ça.
Mais non, merde.
Seulement sur le #20, d’après les prochaines sollicitations. Après, Ram V sera en solo…
Zut.
Jim
Le twitter de Ram V parle du « prochain arc » (je me rends compte au passage que l’annonce date de mi-novembre) :
Et une interview de Ram V pour compléter :
I think James’ work so far on the issues has been “epic” in that combines his horror sensibilities really well with this grand sprawling narrative with almost an epic fantasy aesthetic. I’m hoping to bring in some of my own more granular aesthetic. Sure, there is horror in space and universes beyond our own. But there is also horror in the dirt under our fingernails, horror in the everyday things. Horror in things within our own bodies that we take for granted.
So, while I’m very aware that I am taking on a series that’s been going on for 19 issues and I want to stay true to readers that have been reading it, I’m also hoping to bring in horror and darkly supernatural narratives from more unexpected places. Weird ones that you might not really have thought about.
Il y a du avoir du changement depuis, car la présentation du #21 sur le site previews world
(W) James TynionIV, Ram V. (A) Kyle Hotz (CA) Guillem March
Rot ‹ n › roll! Wonder Woman, Detective Chimp, and special guest star Animal Man fend off a horde of monstrous Rot-infected creatures-but risk contamination with every soul they save! Meanwhile, Zatanna and Constantine discover the secret of the Parliaments in an estranged ally’s dreams, but there they find no lullabies-only nightmares!
In Shops: Mar 25, 2020
SRP: $3.99
n’est pas la même que celle des sollicitations qui ont été dévoilées ensuite :
JUSTICE LEAGUE DARK #21
written by RAM V
art by ALVARO MARTíNEZ BUENO
cover by YANICK PAQUETTE
variant cover by CLAYTON CRAIN
Rot ‘n’ roll! Wonder Woman, Detective Chimp, and special guest star Animal Man fend off a horde of monstrous Rot-infected creatures—but risk contamination with every soul they save! Meanwhile, Zatanna and Constantine discover the secret of the Parliaments in an estranged ally’s dreams, but there they find no lullabies—only nightmares!
ON SALE 03.25.20
$3.99 US | 32 PAGES
Si ça fait suer que James Tynion IV parte de JLD car la série est excellente avec lui… ça fait vraiment suer, en fait, après ce très bon numéro. Qui n’est cependant pas une « fin », mais une étape de run. Ce départ est donc rageant. L’auteur gère bien l’épilogue de sa saga avec Circé et Hécate, et l’Injustice League Dark, via une interview de Diana au présent et des flashbacks. Classique mais efficace. Les rebondissements sont bons, un rien « faciles » pour stopper l’ennemi, mais… bon, la JLD a enchaîné les patates dans la tronche ces derniers numéros, faut aussi équilibrer.
C’est beau, fluide, bon, intense et épique. Ca va me manquer, vraiment.
On sent la volonté de marquer le coup, avec toute cette interrogation autour de « qu’est-ce que la magie ? ». Ce qui était un peu la question non-formulée courant depuis le début de sa prestation. Je crois que j’ai probablement déjà dû proposer cette « lecture » quelque part dans ce topic, mais j’ai la flemme de chercher et je prends le risque du radotage : mon impression, est que Tynion a pris le monde magique de DC en masse, et comme celui-ci n’a jamais été conçu comme un tout cohérent, il s’est retrouvé avec un gros vrac : des magiciens de l’ordre, des magiciens du chaos, des magiciens qui parlent à l’envers, d’autres qui tirent leur pouvoir de dimensions parallèles, des créatures mythologiques, etc. etc. … et le point fort du run est d’avoir embrassé cette diversité sans la réduire mais sans s’y perdre, en faisant de ces différences le moteur, la dynamique fondamentale du run. « Conclure » en revenant à la base, avec les personnages interrogés sur ce qu’est la magie fondamentalement, j’ai bien aimé. (En plus de toutes les autres qualités de l’épisode.)
Oui, tu as complètement raison.
En 19 épisodes, Tynion a réussi à donner de la cohérence, du sens, de l’organisation et de la hiérarchie à la magie. Bravo, c’est un sacré truc ; et en plus, c’est vraiment bien fait.
Mais bon.
Même si l’épisode parle de « c’est quoi la magie », j’ai quand même l’impression que ça fait plus « fin d’étape » que « fin de règne ». Ca annonce une JLD « vraiment » constituée, « vraiment » solide, « vraiment » organisée et placée dans le monde magique ; ça appelle une suite par le même auteur, en fait.
C’est un peu comme si Grant Morrison était parti à la fin de Batman and Robin #16 (de mémoire, hein), juste quand Bruce revient et qu’il annonce Batman Incorporated. On s’attendait à ce que l’Ecossais fasse Batman Inc., pas qu’un autre reprenne la suite de son job.
Je suis d’accord.
Maintenant, il faut aussi faire avec ce qu’on a, ou ce qu’on aura. Et puisqu’on ne peut pas avoir la suite par Tynion à 100% sur le projet, même si je le regrette moi aussi, il faudra juger sur pièce.
En l’état et sur le principe, j’ai envie de laisser sa chance à Ram V.
D’une part, de ce que j’ai lu de lui, l’impression est plutôt favorable : la meilleure histoire (selon moi) du recueil Batman: Secret Files il y a un peu plus d’un an — également mon premier contact, côté dessin, avec Jorge Fornés, qu’on a pas mal revu depuis —, l’Annual de Justice League Dark déjà, qui n’était pas mal, sur Swamp Thing et Jason Woodrue, et surtout l’excellent These Savage Shores, sa série d’horreur chez Vault, située dans l’Inde coloniale du XVIIIe siècle, avec Sumit Kumar au dessin. Ce serait sorti chez n’importe quel autre éditeur plus en vue / plus facile d’accès, ce serait un carton (cf. les notes critiques et des lecteurs, flirtant avec les maximums, sur des sites comme Goodreads ou ComicBook Round Up).
Même si je n’ai pas trop accroché à son Paradiso chez Image (un récit de SF post-apo, qui m’a fait l’effet d’une sorte de bizarre mélange entre Stalker et Gunnm, et dont la narration un peu chaotique n’est pas aidée par le dessin de Devmalya Pramanik, joli mais pas toujours bien clair ou fluide), et que je n’ai pas lu ses participations récentes à la série Catwoman de Joëlle Jones, sur laquelle j’ai fait l’impasse, l’un dans l’autre c’est plutôt un bilan positif et prometteur pour moi.
De plus visiblement il compte respecter les rails posés par Tynion pour la suite, tout en ajoutant sa marque sur le côté horrifique en plus, mais pas au détriment (c’est en tout cas la note d’intention qu’il donne dans l’interview dont je mettais le lien un peu plus haut).
Encore une fois ce n’est pas une situation idéale, mais à tout prendre, je me dis que ça pourrait être pire…
Oui, complètement.
C’est un départ propre. Mais rageant.
Written by James Tynion IV, Ram V
Pencils Kyle Hotz
Inks Kyle Hotz
Colored by Brad Anderson, FCO Plascencia
Cover by Brad Anderson, Raul Fernandez, Guillem March, Alvaro Martinez
Page Count 23 Pages
Release Date February 26 2020
Source : www.adventuresinpoortaste.com
J’ai l’impression que Kyle Hotz revient en force en ce moment et c’est cool.
Pas mal.
J’ai eu peur au début que la JLD ne soit centrée que sur Animal Man, mais Buddy est ensuite replacé au même rang que les autres. Une infection de champignons s’en prend aux humains, désormais possédés et violents. La piste remonte aux fameux Parlements vus dans les Animal Man & Swamp Thing New 52, avec plusieurs fronts : l’invasion à Los Angeles, où Animal Man est bientôt possédé ; le nouveau Dr Fate qui relance un rite que les Lords of Order ont jadis fait pour créer ces Parlements ; Woodrue qui est un agent secret d’un ennemi mystérieux, et qui collabore avec Constantine, dans le dos de la JLD.
C’est pas mal, oui. James Tynion IV est encore crédité au scénario avec Ram V, et si c’est plus direct et sec que les numéros jusque-là, ça tient la route. C’est peut-être un poil prévisible sur l’identité, encore mystérieux, du vilain, qui me semble être certainement ce bon vieil Anton Arcane. Ca suit aussi beaucoup ces fameux récits New 52, qui étaient bons, mais… je ne vois pas encore de nouveauté, là.
Après, ça se lit bien, même si les personnages sont un peu survolés. C’est en tout cas efficace, et surtout très bien graphiquement. Kyle Hotz est parfait pour cette ambiance glauque et sèche, très dure et âpre.
Une bonne reprise.