Katie
Michael McDowell
12,90€
Disponible le 19 avril 2024.
Lorsqu’en 1871, la désargentée et intrépide Philomela Drax reçoit une lettre de son richissime grand-père déclarant qu’il craint pour sa vie à cause d’une famille peu scrupuleuse, les Slape, elle se précipite à la rescousse.
Mais le temps presse, car Katie Slape, une jeune femme dotée d’un don de voyance et d’un bon coup de marteau, est sur le point d’arriver à ses fins…
Démarre alors une traque endiablée, des rues poussiéreuses d’un village du New Jersey aux trottoirs étincelants de Saratoga, en passant par les quais de New York, Philo poursuit Katie… à moins que ce ne soit l’inverse:? Car personne n’échappe à Katie la Furie:!
Tout à la fois hommage de Michael McDowell aux penny dreadfuls excitants et sans pitié de l’ère victorienne et thriller bourré d’action et de rebondissements, Katie est une jubilatoire danse macabre à travers l’Âge d’or américain.
Au-delà de la cupidité et de la brutalité, de la gentillesse et du désespoir, Michael McDowell (1950-1999), créateur des mythiques Beetlejuice et Blackwater, nous offre avec Katie une lecture effrénée à la croisée de Stephen King et Jane Austen, et nous embarque dès les premières pages dans une cavalcade aussi sanglante qu’imprévisible.
Katie, de Michael McDowell. Inédit en français. Traduction de l’anglais (États-Unis) par Jean Szlamowicz. Illustration de Pedro Oyarbide. Couverture fabriquée par l’imprimerie Print System, à Bègles. Impression du bloc intérieur et façonnage par Firmin Didot, à Mesnil sur l’Estrée. Format 10,8:x:16,5:cm. Broché. 460 pages. Titre original : Katie.
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C’est tentant…
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Vu le pied que j’ai pris sur Blackwater et Les aiguilles d’or, je vais le prendre dès sa sortie
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La même
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En plus, la couverture tabasse
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Incontournable en ce qui me concerne, pour toutes les raisons évoquées plus haut !!
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Lu
On dirait Princesse Sarah et les mêmes trucs du genre en plus trash. Vu le talent de conteur de McDowell, on a du mal à décrocher mais par contre on peut pas dire que ce soit super palpitant tant le personnages subit tout ce qui lui arrive et traverse le récit en flottant sur l’eau. Ca à son charme mais ca m’a fréquemment gonflé. Heureusement, prendre le point de vue des gros tarés donne du sel à l’ensemble.
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C’est moins tentant …
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