Kenichi, dernière licence en date de Kurokawa, est un manga de Shun Matsuena, prépublié dans le shônen sunday des éditions shôgakukan.
Synopsis :
Kenichi Shirahama est un lycéen qui veut faire partie du club de Karaté, malheureusement il est plus considéré comme le sac de sable … Il rencontre Fuurinji Miu, une nouvelle élève, experte en art martiaux. Aprés l’avoir vu secourir une personne agée contre des voyous, Kenichi veut renter dans le Dôjo de Miu mais Daimonji, l’un des membres les plus forts du club lui lance un défi : un combat dont le perdant devra quitter le club…*
kenichi vol.1 & vol.2 :Kenichi SHIRAHAMA, grand amateur de livres, est victime de brimades dans son lycée. Sa seule amie de classe est Miu Fûrinji, qui vient d’arriver dans son établissement. Kenichi ne va pas tarder à découvrir son talent pour les arts martiaux. Cela l’abasourdit, mais en même temps, l’attire de plus en plus vers Miu, et le pousse à s’entraîner également pour devenir plus fort.
derrière ce pitch hyper classique se cache un manga hyper classique : scènes convenues et attendues, un peu de fan service, de la baston contre des gros méchants bien plus costauds que le héros, le héros qui se révèle dans la pratique des arts-martiaux, sans oublier les dessins qui passent de « très moyen » à « bon » (ça dépend des scènes).
malgré tout, ce manga possède un petit je-ne-sais-quoi qui fait qu’on s’y attache, passée la désagréable surprise de tant de classicisme que l’on a en début de lecture, et l’arrivée de quelques personnages bien atypiques (les maîtres de kenichi) dans le 2ème volume apporte un bol d’air frais assez agréable.
un bonne petite lecture, sans prétention, mais qui doit s’améliorer par la suite puisqu’on en est actuellement à 28 volumes au japon et toujours en cours, c’est donc que quelque-chose doit se cacher derrière ce succès.
en attendant, ça sera 6/10.
KEN ICHI 1 : un bon petit manga de baston manque à ma collection et j’crois avoir trouvé un candidat potentiel ! L’introduction n’a pas grand chose d’original : un gars martyrisé au lycée veut apprendre à se défendre et devenir fort. La petite originalité vient grâce à Miu, une fille du même age que Ken-Ichi qui maitrise un art martial (voire très probablement plusieurs!) et qui va l’aider à s’occuper de ses problèmes. C’est assez bien mené malgré tout, avec un peu d’humour ici et là. J’espère juste qu’on va vite laisser tomber le « cher ami » dans les dialogues. La fin nous amène chez Miu où l’on rencontre plusieurs nouveaux personnages qui ont l’air tous plus excentriques les uns que les autres. La formation de Ken-Ichi ne fait que commencer !
En effet, ça reste (en tout cas jusqu’au 7, où je me suis arrêté).
Ken’ichi, c’est sympathique, sans plus. Un shônen assez basique, au graphisme particulier (ça, c’est un bon point) mais au déroulement très classique et peu surprenant. ça s’améliore peut-être après mais je n’avais pas vraiment l’envie de continuer plus loin. Un 6/10 pour les tomes 1 à 7.
Tout est dans le titre !
Kenichi se présente sans complexe comme un Shônen pur et dur et ça ce n’est un secret pour personne.
Dès la lecture des premières pages, on sait à quoi s’en tenir : un scénario qui apparaît relativement léger et des situations vu maintes et maintes fois…
Le scénario se résume en une phrase : Kenichi, un garçon faible et sans ami veut devenir fort.
Passé le choc du scénario (:D), on peut se concentrer un peu sur les dessins et là je dois dire que je n’ai pas vraiment été séduit.
Premièrement, la façon dont est dessinée Miu (le personnage principal féminin) est fortement exagérée. Rien de surprenant dans ce genre de manga…et pourtant, j’ai eu du mal à me concentrer sur le reste tellement ce personnage est mis en avant avec des poses toujours plus explicites et des formes dépassant l’entendement.
Bref, cette entrée en matière ne m’a pas vraiment séduit à cause d’un scénario de départ déjà vu et des dessins qui ne feront pas l’unanimité.
Cependant, en fin de volume, l’histoire prend bien sûr une nouvelle tournure et le tome 2 nous dira dans quoi on s’embarque exactement (27 volumes déjà sortis au Japon tout de même et le 28 sort le 18 mars !).
Bien évidemment, je pense que les amateurs du genre pourront être satisfaits par cette introduction.
A suivre dans le tome 2 qui est d’ailleurs sorti en même temps que le 1.
petit copier/coller de ce que j’avais mis dans « dernières lectures manga ».
derrière ce pitch hyper classique se cache un manga hyper classique : scènes convenues et attendues, un peu de fan service, de la baston contre des gros méchants bien plus costauds que le héros, le héros qui se révèle dans la pratique des arts-martiaux, sans oublier les dessins qui passent de « très moyen » à « bon » (ça dépend des scènes).
malgré tout, ce manga possède un petit je-ne-sais-quoi qui fait qu’on s’y attache, passée la désagréable surprise de tant de classicisme que l’on a en début de lecture, et l’arrivée de quelques personnages bien atypiques (les maîtres de kenichi) dans le 2ème volume apporte un bol d’air frais assez agréable.
un bonne petite lecture, sans prétention, mais qui doit s’améliorer par la suite puisqu’on en est actuellement à 28 volumes au japon et toujours en cours, c’est donc que quelque-chose doit se cacher derrière ce succès.
en attendant, ça sera 6/10.
Bonjour, j’ai terminé la série Kenichi : le disciple ultime saison 1 et 2, mais pourtant il me l’a met toujours en tant que série non terminée (c’est-à-dire avec le petit drapeau vert). Pourquoi ?
Merci d’avance de bien vouloir me répondre.