Pourvu que je la comprenne.
C’est certain, mais c’est pas d’aujourd’hui.
Après, peut-être pourrait-il moins produire, et se contenter d’un ou deux albums chez les acteurs traditionnels. Mais j’imagine aussi qu’on a du mal à freiner, quand on a connu le succès et le gros rythme.
Un exercice casse-gueule, ici.
Certains sont des rééditions (je songe à sa tentative de relancer Barbecue Marseillais sous le nom de Manzoni, et ça n’a pas porté ses fruits).
S’il a de bonnes relations avec lesdits éditeurs et si, en plus, il travaille avec des illustrateurs qui apprécient ce mode de financement, ça peut créer des occasions.
Jim