Le temps d’un one-shot lié à l’eventKing in Black, Iron Man et le Docteur Fatalis vont devoir s’allier pour affronter…le Père Noël contrôlé par Knull !
King in Black : Iron Man & Doctor Doom est signé par l’équipe créative de la série du souverain latvérien, Christopher Cantwell et Salvador Larroca.
Iron Man has risked everything to save Eddie Brock, but now he’s left with nothing but guilt. As longtime ‹ frenemy › Doctor Doom shows up with both counseling words and ulterior motives, they’ll be forced to battle an all-too-familiar specter of the holiday season – albeit one now twisted and controlled by the recent invasion of Earth by the symbiote homeworld. As Iron Man and Doom fight as temporary allies, their unexpected encounter both with each other and a horrifying inversion of yuletide joy may ultimately reveal to them the true meaning of Knull-mas.
« As Marvel’s resident writer of armor-clad egomaniacs, it brings me so much joy to put Iron Man and Doctor Doom on the page together. I’m also incredibly honored to be included in such a massive event like King in Black , where I get to earn my first cross-over stripes. And this issue won’t be just a battle royale – at least, not between Tony and Victor. The two of them will once again be forced to reckon with their similarities to each other and difficult ‹ frenemy › status as they go up against one of the worst grotesqueries of Knull’s infected Earth… Santa Claus. »
Ha ouais quand même. J’ai toujours eu du mal avec le père Noël ( le vrai ) dans les comics alors une version infectée ça m’en touche une sans faire bouger l’autre. De plus si c’est du même tonneau que la série régulière sur les doc doom, je ferais l’impasse facile
(W) Christopher Cantwell (A/CA) Salvador Larroca, GURU-eFX
Iron Man has risked everything to save Eddie Brock, but now he’s left with nothing but guilt. As longtime ‹ frenemy › Doctor Doom shows up with both counseling words and ulterior motives, they’lll be forced to battle an all-too-familiar specter of the holiday season-albeit one now twisted and controlled by the recent invasion of Earth by the symbiote homeworld. As Iron Man and Doom fight as temporary allies, their unexpected encounter both with each other and a horrifying inversion of yuletide joy may ultimately reveal to them the true meaning of Knull-mas.
Rated T+
In Shops: Dec 30, 2020
SRP: $3.99
Sympathique, mais anecdotique.
Christopher Cantwell créé un duo avec Dr Doom (qu’il quitte lors de la fin de la série au #10) et Iron Man (qu’il est en train de relancer), avec Salvador Larroca, qui a longtemps officié sur Fantastic Four (avec Chris Claremont au tournant des années 2000) et Iron Man (avec Matt Fraction). Il plonge les deux personnages, souvent opposés (notamment dans leurs voyages temporels) voire proches (Doom qui devient Infamous Iron Man en l’absence de Tony), au coeur de King in Black, juste après le #2 et son final « choquant ».
C’est sympa’, oui, mais ça ne va pas loin. Le scénariste amène Doom vers Tony, en pleins doutes (comme dans sa série) et culpabilité, après la fin du #2. Doom pique un peu Tony, mais tous deux découvrent un autre « Knullifié », symbiotisé : le Père Noël, qui vole avec ses rennes dans les airs, carrément ! Ils l’affrontent, ça tape fort, jusqu’à ce que Stark utilise sa nouvelle armure, fusion d’Extremis et d’un symbiote, pour « libérer » l’autre du symbiote. On apprend alors qu’il semble être un type lambda déguisé en Père Noël mais le doute demeure, surtout Dr Doom qui se demande s’il ne serait pas… un Sorcier Suprême.
Ca se lit bien, mais ça s’oubliera vite. L’opposition surprend clairement, mais l’effet retombe rapidement parce qu’on part beaucoup trop vite dans la bagarre classique et brutale. Le final est sympathique encore, mais le « doute » est super évident, et la punchline finale de Dr Doom tombe à plat.
Bon, oui, Dr Doom prouve à Tony qu’il peut vraiment changer la donne avec sa nouvelle armure, mais… bon, c’est peu, quand même. Christopher Cantwell ne se force pas ici, même les interactions sont basiques, sans folie.
Salvador Larroca est correct dans ses planches : son dessin s’est dégradé, clairement, et il est devenu lourd, mais je trouve qu’il est ici dans la veine de ses Uncanny X-Men avec Matthew Rosenberg, avec une approche sombre mais des traits très corrects. Les armures sont réussies, et l’ensemble fonctionne. Je ne déteste pas, et je trouve que c’est professionnel.
Un one-shot sympa’, mais pas aussi « fou » que son concept, et finalement très anecdotique.
