Après le one-shot First Blood, la saga horrifique de l’été Knight Terrors se poursuivra dans une flopée de mini-séries. La principale se déroulera sur 4 épisodes et débutera en juillet.
The main Knight Terrors story will take place over four issues written by Williamson with art by Giuseppe Camuncoli (The Joker), Stefano Nesi and Caspar Wijngaard (Home Sick Pilots), in which Boston Brand—a.k.a. Deadman—serves as the supernatural tour guide! Following the events of Knight Terrors: First Blood #1, everyone in the world is trapped inside their nightmares, and Batman and Deadman are trying to figure out who Insomnia really is…and why he wants revenge on the heroes of the DC Universe! Knight Terrors #1 is available at comics shops on July 11 with variant covers by Francesco Mattina and Alex Maleev, a 1:25 variant by Evan “Doc” Shaner, a 1:50 by Alex Maleev, a 1:100 by Ivan Reis, and a Darkest Hour cover by Reis.
Sait-on si ces titres prennent la place des sorties classiques à la manière de Future State ou si l’event accompagne les sorties en parallèle comme Lazarus Planet?
Vu la checklist, ça veut dire que quasiment tous les titres feront une pause cet été pour laisser la place à cet event (ça rappelle en effet Future State ou encore Convergence)…
DC prépare son événement estival en dédiant son Free Comic Book Day à Knight Terrors, la terrible saga cauchemardesque à venir.
Ici, Joshua Williamson est aidé de Chris Bachalo et d’Howard Porter pour montrer la mystérieuse attaque en plein rêve devenant cauchemar envers Damian, qui essaye d’y survivre avant de retrouver son père. Quelques indices sont disséminés, mais l’on n’apprend rien de neuf, et la théorie très juste d’un lien avec Sandman, via Dr Destiny, demeure.
Ca reste un épisode fluide, passe-partout mais qui bénéficie du joyeux bordel de Bachalo, même s’il reprend beaucoup d’éléments de son Doctor Strange avec Jason Aaron.
Ca fait le job, ça annonce la chose sans trop en dire. Les designs finaux sont joyeusement macabres et glauques, ça n’annonce rien de léger tout ça.
Efficace lancement, même si les ficelles risquent d’être grosses.
Covers by: Ivan Reis, Danny Miki, Francesco Mattina, Alex Maleev, Eric « Doc » Shaner.
Description: Hello, ghouls and ghosts! This is Boston Brand, a.k.a. Deadman, and I’ll be your supernatural tour guide across the Knight Terrors stories! After that fancy special oversize issue you have to read first, the whole world is trapped inside their nightmares, and Batman and I are trying to figure out who Insomnia really is…and why he wants revenge on the heroes of the DC Universe!
Très bien. Joshua Williamson poursuit le coeur de sa saga, avec Deadman et des révélations sur Insomnia. Cool.
Ici, on voit ainsi Deadman qui continue d’habiter le corps de Batman, et qui échappe à Insomnia et ses sbires. Il découvre aussi qu’Insomnia était un patient de l’Arkham Tower qui a été transformé par la Pluie de Lazare de Lazarus Planet, et qui refoule ses souvenirs heureux sans vouloir s’expliquer. Il cherche la Nightmare Stone cachée par Dr Destiny, et Deadman doit lui échapper tout en essayant de trouver des alliés et des réponses.
C’est bien, oui. Clairement, la petite idée déjà évoquée en ligne habilement que tout ça peut mener au retour de Sandman / Dream / Morpheus dans l’univers DC a du sens, tant « tout » semble appeler son intervention pour gérer ça. Joshua Williamson gère bien sa saga et son personnage de Deadman, c’est bondissant et prenant.
Graphiquement, Giuseppe Camuncoli et Caspar Wijngaard assurent dans des planches efficaces avec de belles ambiances.
Un numéro qui confirme le bon sentiment sur cette saga pas trop ambitieuse, et qui est très prenante pour l’instant.
Efficace.
En parallèle des diverses mini séries sur les cauchemars des personnages, Deadman continue son enquête sur Insomnia en possédant le corps de Batman et en cherchant des alliés. Il ressuscite Sandman en zombie lié à la création de la Nightmare Stone dans l’une de ses premières enquêtes, et Wesley veut rester pour aider. Ils rejoignent Red Tornado alors que Deadman a des flashs du passé d’Insomnia, mais les Sleepless Knights de ce dernier les attaquent.
C’est bien. Joshua Williamson maîtrise bien Deadman qui est très agréable à suivre ici, et le mystère sur Insomnia est simple mais efficace. L’ensemble se lit bien, sans être bluffant mais en restant un bon divertissement.
Graphiquement, Giuseppe Camuncoli est bon, pas trop crade mais plutôt dynamique et nerveux.
Welcome back, ghouls and ghosts! Deadman here—Boston Brand, again!
My horror adventure continues as the Sleepless Knights attack us. But now I have a new problem: Batman’s son Damian is furious and keeps trying to fight me!
My only safe haven is… the House of Horror.
Creative Team
Writer: Joshua Williamson
Artists: Caspar Wijngaard, Stefano Nesi, & Giuseppe Camuncoli
Inker: Stefano Nesi
Colorist: Frank Martin
Letterer: Troy Pete ri
Cover Artist: Ivan Reis, Danny Miki, Brad Anderson
Variant Cover Artist: Francesco Mattina; Guiseppe Camuncoli ; Ivan Reis; Christian Duce
Efficace et ça avance.
Joshua Williamson poursuit la saga principale avec Deadman (possédant le corps de Batman endormi), associé à un Sandman mort-vivant et désormais Damian, qui lutte contre le sommeil. Ils fuient les sbires d’Insomnia, Deadman plonge dans les souvenirs d’Insomnia et « voit » que ce dernier a longtemps lutté contre le sommeil pour ne pas revivre un traumatisme causé par la Justice League, ce qui a fini par lui faire péter un plomb. Deadman et Robin vont dans la dimension entre le Rêve et l’Eveil grâce à un procédé de Wesley Dodds, qui les protège dans la Réalité. Le duo obtient difficilement la Nightmare Stone, mais Deadman semble corrompu à son retour.
C’est bien, oui. Joshua Williamson mène bien sa barque, anime efficacement ses personnages. Ca fonctionne bien, avec notamment ce mystère sur Insomnia qui m’intrigue. Ca reste du divertissement facile, mais ça m’amuse bien de lire ça cet été, et les quelques passages sur Damian regrettant son lien difficile avec Bruce sont bons.
Graphiquement, Giuseppe Camuncoli livre des planches efficaces et nerveuses, tandis que Caspar Wijngaard et Stefano Nesi assurent notamment sur les passages de présentation Deadman.
Une avancée efficace, à l’ambition limitée mais assumée.
Art by: Giuseppe Camuncoli, Stefano Nesi, Caspar Wijngaard.
Covers by: Ivan Reis, Danny Miki, Caspar Wijngaard, Giuseppe Camuncoli, Darick Robertson, Mico Suayan, Ivan Reis.
Description: Insomnia searches the nightmares of all the heroes for his precious Nightmare Stone and keeps on coming up empty-clawed! Wesley Dodds, Batman, and I must return to the haunted Arkham Tower to confront Insomnia, but…now I know why Insomnia hates the heroes. And I gotta be honest: I’m having a hard time not relating. Maybe Insomnia is owed his revenge.
Merci pour ton réponse.
Le prologue se trouve dans quel comic?
Vous pensez qu’ils vont bientôt sortir une version regroupant l’ensemble avec les tie-in ?
C’est dans Knight Terrors: First Blood #1. Il y a le FCBD mais c’est minime.
Je pense qu’un ensemble sortira dans les mois suivants oui, mais aucune idée de la date.
Bon final pour cette mini-série principale, avant l’épilogue à venir.
Joshua Williamson achève sa saga en livrant ce qui est attendu : la « vérité » sur Insomnia, et le placement des personnages pour la grosse conclusion. Efficace, sans briller.
Ici, Deadman possédant Batman mène Wesley Dodds zombifié et Damian épuisé dans l’Arkham Tower corrompue par Insomnia. Ils trouvent le corps de ce dernier, après plusieurs tentations, et Deadman plonge dedans pour comprendre que cet homme est devenu un tueur en série dément quand sa famille a été tuée lors d’un combat de super-héros (a priori, durant Dark Nights: Metal), parce qu’il ne l’avait pas faite évacuer car il pensait que la Justice League les sauverait. Insomnia piège ainsi Deadman, se suicide physiquement pour le sacrifice voulu par la Nightmare Stone. Il s’en empare, libère sur le monde les cauchemars, alors que tout le monde se réveille et se prépare au pire.
C’est efficace, oui. La « vérité » sur Insomnia n’est ni bonne, ni mauvaise : elle est ce qu’elle est, un prétexte prévisible à tout ça. Ca aurait mérité plus d’ampleur et un meilleur twist, mais ce n’est pas honteux, juste attendu. L’ensemble se lit sans déplaisir mais sans passion, j’ai apprécié que le lien soit idéal avec la fin de Knight Terrors: Batman #2, où Damian accueille Bruce qui retrouve son corps de la même façon.
Graphiquement, se succèdent Giuseppe Camuncoli, Stefano Nesi et Caspar Wijngaard avec des prestations correctes, elles aussi efficaces.
Un numéro qui ne surprend pas mais livre efficacement une formule bien connue. M’enfin, j’ai déjà plus vibré ici.