Ever since becoming Batman, Bruce Wayne has been a creature of the night. But now, trapped in the Nightmare Realm, Bruce is stalked by the horror he’s created! Can he escape before his own nightmares pull him deeper into the darkness? Available on July 4, Knight Terrors: Batman #1 is written by Joshua Williamson (Superman) with art and main cover by Guillem March (The Joker). The issue will feature backup art by David Lafuente, open-to-order variants by Francesco Mattina and Puppeteer Lee, a 1:25 variant by Kael Ngu, a 1:50 variant by Dan Mora, and a Midnight variant by Dustin Nguyen.
Knight Terrors: Batman #1
But now, trapped in the Nightmare Realm, Bruce is stalked by the horror he’s created!
Can he escape before his own nightmares pull him deeper into the darkness?
Creative Team
- Writer: Joshua Williamson
- Artists: Guillem March & David Lafuente
- Colorist: Tomeu Morey & Rex Lokus
- Cover Artist: Guillem March & Tomeu Morey
- Variant Cover Artist: Howard Porter; Jae Lee; Francesco Mattina; Puppeteer Lee; Dustin Nguyen; Kael Ngu; Dan Mora
- Format: Limited Event Series
- Cover Price/Page Count: $6.99/48 pages
Efficace.
Joshua Williamson enchaîne après First Blood #1, en se concentrant ici sur Batman. Après un flashback montrant que Bruce avait tenté de « contrôler et vaincre » son cauchemar principal, la nuit du meurtre de ses parents, on le retrouve dans le Royaume du Cauchemar, confronté par Insomnia qui tente de le briser. Bruce, sous la forme d’un enfant, résiste mais ne peut se réveiller malgré ses préparations, car Deadman contrôle son corps. Bruce est attaqué par une chauve-souris à tête de pistolet, ce qui le libère et le pousse à plonger dans son cauchemar, mais il va le regretter car il se retrouve à la place de Joe Chill sur le point de tirer.
C’est efficace. Joshua Williamson est ici sur la ligne du Batman qui s’est préparé à tout, et ça a du sens. Il est plutôt cocasse de voir un Bruce « enfant » agir contre Insomnia, mais ça fonctionne plutôt bien. C’est prenant, bondissant et réussi, même si très prévisible.
Graphiquement, Guillem March ne se perd pas dans des effets inutiles, et donne une copie très propre et réussie, bien adaptée.
En back-up, Joshua Williamson reprend Damian qui va étudier auprès d’un ancien proche de Ra’s al Ghul pour maîtriser ses rêves et son sommeil. Il arrive ainsi à résister au sommeil général, et va s’en prendre à Insomnia. Une annexe un peu rapide mais efficace, avec des traits assez cartoon de David Lafuente.
Un bon tie-in, qui donne du Batman prévisible mais efficace.
C’est pas dégeu à lire, effectivement.
J’ai vu que Dan « Everywhere » Mora avait trouvé le temps de designer les costumes. Il est très fort.
Knight Terrors: Batman #2
Bruce is trapped inside the Nightmare Realm, haunted by the dark shadows that he’s created. To escape, he must regain control of his body. But that means going deeper into his own mind than he’s ever gone before. Can Batman make himself scarier than he’s ever been to survive?
Also, what nightmares have Arsenal and Black Canary confronted in the Nightmare Realm?
Creative Team
- Writer: Joshua Williamson
- Artists: Guillem March & Trevor Hairsine
- Colorist: Tomeu Morey & Rex Lokus
- Cover Artist: Guillem March & Tomeu Morey
- Variant Cover Artist: Felipe Massafera; Francesco Mattina; James Stoke; Ejikure
- Format: Limited Event Series
- Cover Price/Page Count: $5.99/40 pages
Efficace.
Joshua Williamson achève ce diptyque avec fluidité et une vraie efficacité, mais aussi une certaine compréhension de Batman. Ce dernier continue d’errer dans le Royaume du Cauchemar, manipulé par Insomnia pour « incarner » Joe Chill, puis entendre qu’il a au fond toujours voulu être Batman. Bruce n’arrive pas à se réveiller car Deadman possède son corps, mais il se force et parvient à repousser les mauvaises pensées, notamment en se rendant dans une « pièce secrète » où il y a une version de lui enfant, avec qui il échange et forme une sorte de paix intérieure. Bruce parvient finalement à se réveiller dans un monde cauchemardesque, pense dormir encore… mais Damian confirme que non. C’est bien la Terre, et ils ont perdu.
C’est bien, oui. Joshua Williamson surfe sur l’idée d’un Batman prêt à tout ou capable de rebondir sur tout, et ça fonctionne bien car il n’en fait pas trop. Sa gestion de l’échange Batman / jeune Bruce est bonne et touchante. L’ensemble est fluide, pas surprenant mais réussi et agréable à lire.
Idem pour le graphisme de Guillem March, moins dans le body-horror et qui livre de belles images de Batman. C’est efficace, encore.
Enfin, une petite back-up de Joshua Williamson et Trevor Hairsine montre comment Arsenal et Black Canary vivent leurs cauchemars. Oubliable mais pertinent, et joli.
Une bonne conclusion d’une mini-série maîtrisée.