KNIGHT TERRORS : ROBIN #1-2 (Kenny Porter / Miguel Mendonça)

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Dick Grayson isn’t the only Robin stuck in the Nightmare Realm. Written by Kenny Porter (The Flash: The Fastest Man Alive) with art by Miguel Mendonça (Wonder Woman), Jason Todd and Tim Drake must fight against their own worst fears and each other as they’re forced to relive the darkest moments of their lives in Knight Terrors: Robin #1. This issue will be available on July 11 with a main cover by Ivan Reis, open-to-order variants by James Stokoe and Liam Sharp, a 1:25 variant by Sam Wolfe Connelly, a 1:50 variant by Jorge Corona, and a Midnight variant by Dustin Nguyen.

Written by: Kenny Porter.

Art by: Miguel Mendonca.

Covers by: Ivan Reis, James Stokoke, Liam Sharp, Sam Wolfe Connelly, Jorge Corona, Dustin Nguyen.

Description: It’s Robin versus Robin versus nightmare Robins? When the two Bat-brothers get taken into the Nightmare Realm, Jason Todd and Tim Drake must fight against their worst fears and each other as they’re forced to relive the darkest moments of their lives.

Pages: 40.

Price: $4.99 (Variants, $5.99).

Available: July 11.

Pas mal, bien qu’un peu « too much ».
Ici, Kenny Porter plonge Tim « Robin » Drake et Jason « Red Hood » Todd dans la Vague du Cauchemar, d’abord ensemble puis séparés. Tous deux sont liés dans un cauchemar en s’éveillant, puis sont séparés : Tim affronte un lui maléfique qui lui fait revivre en boucle la mort de son père qu’il ne peut empêcher, Jason affronte un Joker/Red Hood déformé qui se multiplie à chaque mort. Tous deux veulent essayer de se rejoindre pour s’aider.
Bon, ça fonctionne mais on est sur du glauque un peu forcé. Kenny Porter a bien identifié les failles des deux personnages, mais il rajoute du glauque sur glauque. Ca m’apparaît notamment parce que les autres numéros n’en faisaient pas autant, et là ça fonctionne moins bien. D’autant que Jason est abusivement grande gueule, et Tim abusivement gentillet.
Graphiquement, Miguel Mendonça propose lui de belles planches, avec de bonnes ambiances. C’est très réussi.

Un peu trop de glauque facile, et des facilités générales.

Knight Terrors: Robin #2

ROBIN VS. ROBIN VS. NIGHTMARE ROBINS!

The undynamic duo of Tim Drake and Jason Todd are on death’s door. Lost in their own personal hells with their worst nightmares around every corner and nowhere to run, the two Robins must put aside their differences and find the strength to overcome their fears and fight back.

Creative Team

  • Writers: Kenny Porter
  • Artists: Miguel Mendonca
  • Colorists: Adriano Lucas
  • Cover Artist: Ivan Reis, Danny Miki, Brad Anderson
  • Variant Cover Artists: James Stokoe; Dustin Nguyen; Liam Sharp; Sam Wolfe Connelly; Jorge Corona
  • Group Editor: Ben Abernathy
  • Editor: Arianna Turturro
  • Format: Limited Event Series
  • Cover Price/Page Count: $4.99/ 32 pages

Très bien.
Kenny Porter achève très bien sa petite saga, avec une bonne gestion de ses personnages. Jason et Tim sont tous deux perdus dans leurs cauchemars : le premier affronte sans fin des Red Hoods monstrueux qu’il ne peut pas battre, le second est dans une boucle où il n’arrive jamais à sauver son père. Tous deux se contactent dans leurs cauchemars, et échangent. Chacun parle et convainc l’autre qu’il a tort (pour Tim, Jason n’a pas échoué, les autres ont échoué à le sauver et à l’aider ; pour Jason, Tim n’est pas une erreur de casting, mais le Robin qui a décidé de l’être pour sauver les autres). Ils s’aident ainsi, Tim se libère, Jason accepte l’aide et ils s’éveillent. Jason a un moment de flou, craignant que tout ceci soit faux, mais Tim le contacte et ils vont collaborer.
C’est bien, oui. Kenny Porter gère bien son duo, même s’il est au fond plus convaincant sur Jason (sûrement car les failles de Tim sont moins « lourdes », un peu). Leur collaboration fonctionne, leurs échanges sont bons et réussis, et le numéro est dynamique. Une bonne gestion des caractères, et surtout un sens au diptyque pour l’évolution de la relation.
Graphiquement, Miguel Mendonça propose de belles planches, avec une atmosphère travaillée et de bonnes idées monstrueuses. C’est très réussi.

Une très bonne gestion des deux héros et de leur lien, avec surtout un sens au diptyque.