LA BRIGADE CHIMÉRIQUE (Serge Lehman - Fabrice Colin / Gess)

Quel est le lien ?

C est un univers parallèle.

Sinon, il y a un lien thématique aussi metropolis mettant en scène un monde composite de fictions ( mais des fictions différentes de celle de la brigade) n ayant pas connu la seconde guerre mondiale.

La brigade raconte la fin des fictions dans les camps, metropolis raconte la fin de la fiction qu ils n auraient pas existé.

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Ok, merci. Des œuvres connexes mais ni sœurs, ni cousines.

Je sais plus si je les ai vendu lors de mon dernier tri de BD mais comme je vais en faire un nouveau d’ici une semaine ou deux je pourrais te le dire et te les mettre de coté si tu veux.

Et puis tu pourras mettre des photos sur « le coin des bonnes affaires », aussi, hein !

Jim

C’est prévu :wink:

(vous allez financer les travaux de ma salle de bain je vous remercie par avance)

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C’est ça

Ah oui, avec grand plaisir.
Je te remercie !

Si je peux aider.

Trouvé et mis de coté

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Merci beaucoup !

Une adaptation de La Brigade Chimérique en série d’animation est en développement, avec Louis Leterrier en co-réalisateur.

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Oooooh.

Mazette.

Jim

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Pourvu que ce ne soit pas une chimère.

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Bon, les gesticulations de MicMac ont un peu retardé le lancement de mon fil rouge de l’été (il n’est plus à un reproche près, donc pourquoi pas celui-ci).
Il y a ici pas mal d’avis éclairés, érudits, analytiques et avec de bons mots, donc pourquoi en ajouter ? Parce que j’ai envie, na !
Et puis la médiocratie étant à la mode, je ne vais pas me priver.

Alors, j’avais un peu peur que la gestion en rupture du récit (mais sera-t’elle toujours comme ça ?) me donne un sentiment de frustration, mais je dois dire que la densité des deux histoires, leur rythme et tout ce qu’il y a à découvrir donnent plutôt un sentiment inverse, même si le premier chapitre parle de la dernière histoire du Passe-Muraille, épisode qui n’est pas dénué d’un humour pince sans rire, et un peu noir. Mais avant cela, Lehman nous lance un prologue qui permet de découvrir un grand nombre de protagonistes de cette série (enfin, je pense), et ce, de manière assez efficace. L’ambiance est plutôt étonnante, car on sent que tout le monde se méfie de tout le monde, mais chacun reste sage. Peut être éblouis par ce que montre le Docteur Mabuse.
J’ai bien aimé les clins d’œil, notamment celui qui montre que les super-héros existaient en France bien avant que les Américains se les approprient (la faute aux Français, aussi).
Je ne sais pas si Lehman a inventé beaucoup de choses, mais si ce n’est pas le cas, j’aime beaucoup la concaténation et l’agencement de tout cela. De prime abord, sans chercher à comparer, il y a un côté Alan Morre dans l’idée. Une sorte de mise en avant un merveilleux (scientifique ?) oublié, àa peut rappeler un peu sa ligne A.B.C.
Et puis même si on n’a pas encore les aspects politiques de cet univers (des esquisses du moins), l’homme de la rue n’est pas oublié en arrière plan. Bon, les Grands de ce monde occupent beaucoup le terrain, mais il y a des choses qui sont là.

J’ai cru voir que Gess était un peu décrié. Bon, vu l’époque (1939, avant 2ème GM … mais y aura-t’il une 2ème GM dans cet univers), je trouve au contraire que c’est un bon choix (et puis j’aime bien ce genre d’ambiance). Je trouve par ailleurs qu’il sait mettre un peu de rythme (la scène de Sup, ou encore celle du passe-Muraille dans l’antre d u Nyctalope, que j’aime beaucoup), alors que les épisodes sont quand même en mode discussion majoritairement. Mais ses perso ne sont pas à l’arrêt, et les auteurs ont quelques idées pour les faire bouger.
Et puis il y a du détail, ça aurait presque mérité un format plus grand. Et je trouve aussi qu’il s’éloigne de la francobelgerie d’aventure classique, notamment dans une mise à page, certes en mode quadrillage, mais avec beaucoup de variété.
J’avais souvenir que le lettrage n’était pas terrible, mais finalement, à part quelques boulettes, ça va plutôt. J’ai dû confondre.

(je ne sais pas si ce texte est meilleur que le précédent, mais une mauvaise manipulation de ma part ne pourra jamais nous le confirmer. Encore un coup de MicMac, assurément)

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Alors il faudrait que je m’y replonge, mais il me semble que Lehman joue pour l’essentiel avec des personnages qui l’ont précédé.

Jim