Oui, une courte période (le début avec les Yakuzas jusqu’à l’arc avec Lady Deathstrike) où Silvestri est au sommet de son art et régurgite toutes ses influences. Il travaille beaucoup les ombres, qu’il délaissera pour faire des traits à la Jim Lee, qui est une démarche (en plus d’être opportuniste) assez paresseuse.