Discutez de La couleur de l’air
La critique de La couleur de l’air T.1 (Simple - Casterman BD) par ginevra est disponible sur le site!
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Ah, tiens, je ne le connaissais pas, celui-ci.
Moi non plus, mais ça fait quelques années que je suis perdu pour la cause Bilal.
Jim
Disons que le 4ème tome de ce qui devait être une trilogie m’a un peu agacé aussi … et Animalz n’a pas eu toujours bonne presse dans les salons où je cause.
Coup de sang, Intégrale
Dans ce monde dont on ne sait trop s’il est l’émanation d’une histoire parallèle ou simplement le récit de notre futur, le dérèglement climatique s’est brutalement généralisé. La catastrophe porte un nom : le Coup de Sang. Sur la planète dévastée, martyrisée, l’eau potable est soudain devenue un trésor, et la survie individuelle l’obsession de chacun. Désormais, les transports sont rares et dangereux, les communications aléatoires. Seuls quelques Eldorados très isolés, refuges protégés par leur situation géographique particulière, ont réussi à préserver un semblant d’ordre social.
Enki Bilal est né à Belgrade, en ex-Yougoslavie. Il arrive en France à l’âge de dix ans. En dehors de son oeuvre en bandes dessinées, il est l’auteur-réalisateur de trois films pour le cinéma, de scénographies pour le ballet, le théâtre, l’opéra, d’expositions de peinture à travers le monde, et, récemment, d’installations à la Biennale de Venise.
- Relié : 280 pages
- ISBN-10 : 2203208392
- ISBN-13 : 978-2203208391
- Éditeur : Casterman (4 novembre 2020)
- Poids de l’article : 1 g
- Langue : : Français
Le « coup de sang » c’est le grand dérèglement climatique tel que l’imagine Enki Bilal dans cette trilogie écologique et onirique. Ouverte dans le climat bleuté et glacial d’Animal’z en 2009, cette trilogie s’achève de manière inattendue en 2014 avec La Couleur de l’air.