LA FIÈVRE (Saison 1)

Comme à chaque fin de saison, la grande famille du foot français fête ses héros : sourires, selfies, récompenses – c’est la soirée des Trophées UNFP. Tout bascule quand devant les caméras, Fodé Thiam, la star du Racing, assène un violent coup de tête à son entraineur et le traite de « sale toubab ». « Toubab », cela signifie « blanc » en wolof. Sidération : la tempête médiatique peut commencer. Appelée au chevet du club, Sam Berger, communicante de talent mais dévorée par son hypersensibilité, pressent que cette fois la crise ne sera pas balayée par un nouveau scandale plus « vendeur ». Depuis la scène de son théâtre toujours complet, Marie Kinsky instrumentalise l’événement en attisant les déchirures identitaires et sociales qui lézardent le pays. Sam craint d’autant plus Marie qu’elles ont été très proches… Les deux femmes « spin doctors » vont se livrer un combat sans merci ni répit pour orienter une opinion publique défigurée par la puissance des réseaux sociaux et leur culture du clash. Au coeur de ce combat, le destin d’un grand joueur, et avec lui celui de la France. Car cette fièvre, c’est avant tout la nôtre.

Drame
Série française
Créée par Eric Benzekri
Avec Nina Meurisse, Ana Girardot, Benjamin Biolay, Xavier Robic…
Année de production : 2024

anxiogene, stimulant…
Mon seul bémol est que vers al fin on tourne en rond dans un sens probleme exterme droite/reponse/echec/utilisation du club.
Une forme de formule

mais bon c est un bémol

Je suis au deuxième épisode, Fred. J’ai justement peur que cela tourne en rond comme tu écris.

Mais la série solide est très encrée dans la réalité notamment avec les émissions Canal. Cela a dû être chouette à tourner.

Non mais au 2 ca tourne pas… c est au 4 ou 5 que je l ai ressenti

1 « J'aime »

Le thème est piégeux tout de même. Je suis toujours impressionné de la manière dont le jeu médiatique actuel s’emporte sur une « polémique ».

Le rendu est effrayant, d’autant plus que la série met en scène les coulisses.

Le souci aussi est le positionnement.

Contrairement à Nemo j ai envie de croire la bonne foi de l activiste communautaire où certaines projections intellectuelles me semblent pas deconnantes (d autres plus) mais à un moment de concurrence… un peu comme l activiste ecolo.

Et c est un souci…

On atous le besoin d exister à minima: la case memorable de marko sur Mirage me met la larme à l oeil comme l episode sur le Gibbon de Spencer qui me parle beaucoup sur ces questions…
Simplement quand ca devient concurrentiel… c est contreproductif…
et quand même contrairement à ce qu avance Nemo, je trouve que la série rte montre bien comment le capitalisme justement par son positionnement concurrentiel au lieu d etre collectif… nous conduire forcement au précipice car au moment de choisir bien commun et exister…