[quote=« Le Doc »]
Scénariste Greg Rucka
Dessinateur Michael Lark
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La main qui frappe et le bouclier qui protège…
Dans un futur proche et dystopique, les gouvernements ne sont plus que des concepts archaïques : le monde n’est plus divisé par zones géographiques mais par frontières financières. La richesse est synonyme de pouvoir, mais elle n’est l’apanage que d’une poignée de familles qui la conservent jalousement. Le reste de l’humanité peut bien aller au Diable… Dans chaque famille, une personne est élue pour subir un entrainement intensif, et obtenir le meilleur de ce que l’argent et la technologie peuvent offrir. Cette personne est à la fois la main qui frappe et le bouclier qui protège ; le représentant et le gardien de son clan, son… Lazarus ! Dans la famille Carlyle, le Lazarus est une femme, sexy et redoutable, baptisée Forever. Laissée pour morte dans un combat sans merci, Forever ne devra son salut qu’à ses insoupçonnables ressources. Mais est-elle prête à affronter la vérité ? Ceci est son histoire…
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Comme mes prédécesseurs, une série plutôt intéressante, un chouette personnage principal avec un beau potentiel, une distribution toute aussi intéressante qui ne demande qu’à être développée.
Et des enjeux qui le peuvent.
Une série à suivre en ce qui me concerne.
Et une série dont on retrouve certains aspects dans une autre série, télévisée celle-là : Into the Badlands (Pour en savoir +)
Et pour finir une anecdote, les 4 pages qui ouvrent ce recueil chez **Glénat **(et qui avaient été proposées aux U.S.A dans le **Previews ** je crois) sont à la fin du tpb U.S, contrairement à ce qu’a fait **Glénat ** donc.
Et si finalement l’histoire est la même, rentrer in medias res me paraît beaucoup plus efficace.
Voilà ce que découvre un lecteur américain :
Et ce qu’on apprend dans ces 4 pages me semble plus percutant à la fin, à condition de n’avoir pas lu le **Previews ** ou s’être rendu sur le site de l’éditeur étasunien qui propose gratuitement ces pages au téléchargement, bien entendu.
Cela dit c’est juste un détail.
L’absence de mise en évidence du nom du traducteur au même titre que l’auteur, me semble beaucoup plus intéressant.
Glénat n’est pas le seul éditeur francophone à agir de la sorte, **Delcourt ** le fait, Urban également (et je ne parle que de ce que j’ai sous la mains lorsque j’écris).
Et pourtant pour le lecteur, le traducteur est tout aussi essentiel que celui qui a écrit les dialogues, et le reléguer en petits caractères ne me paraît pas une bonne idée.
Traduire n’est pas une mince affaire, ce n’est pas la même chose que lire dans une langue étrangère pour soi-même.
C’est un vrai travail d’écriture, de la co-écriture en quelque sorte, du moins à mes yeux.
Bref tout cela est bien dommage.