LE BEAU PARLEUR (Teresa Radice / Stefano Turconi)

Le Beau Parleur

L’aventure commence comme une belle histoire…

Pedro est jeune garçon qui vit dans un petit village au cœur de la forêt amazonienne. Il est proche de la nature, en avance sur son âge, lit beaucoup et se délecte des histoires que lui raconte son frère aîné quand il revient de ses nombreux voyages. Mais voilà, Vincente n’est pas vraiment cet aventurier-voyageur qu’il prétend être… Et s’il a fui la maison ce matin alors que tout le monde dormait encore, c’est sans doute parce que ses mensonges allaient le rattraper ! En partant à la recherche de ce grand frère qu’il admire tant, Pedro va certes découvrir les secrets de son aîné, mais surtout se confronter à la violence du monde des adultes et de leurs bassesses. Sous couvert d’un thriller exotique aux décors époustouflants, Le Beau parleur, à l’instar du Port des marins perdus, résonne comme une quête initiatique. Celle d’un petit garçon qui quitte le monde de l’enfance et sort grandi de cette aventure où se mêlent découvertes, espoirs, doutes et désillusions. Par les auteurs de La Terre, le ciel, les corbeaux (nommé à Angoulême en 2023).

  • Éditeur ‏ : ‎ Glénat BD (3 janvier 2024)
  • Langue ‏ : ‎ Français
  • Relié ‏ : ‎ 208 pages
  • ISBN-10 ‏ : ‎ 2344062408
  • ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2344062401
  • Poids de l’article ‏ : ‎ 788 g

Nés au milieu des années 1970, Teresa Radice et Stefano Turconi se rencontrent en 2004 et forment rapidement un couple à la ville comme au travail. Leurs premières collaborations sont pour le journal de Mickey italien (Topolino) dont la plus notable est une adaptation à la sauce “disnéenne” de L’île au trésor de R. L. Stevenson (Glénat, 2019). À part quelques publications jeunesse chez Dargaud, le reste de leur œuvre est publié chez Glénat au sein de la collection [treize étrange] : Le Port des marins perdus (2016), Amour minuscule (2018), Les Filles des Marins Perdus – Livre I (2020), La Terre, le Ciel, les Corbeaux (2022).

Quelques autres pages :

Jim

Encore une réussite pour le duo Radice/Turconi, on voyage vraiment avec ce bouquin, cependant si je voulais l’a joué un peu fine bouche, il est un peu trop verbeux, a vouloir mettre sur papier ce que vit le héros ça perd en intensité et ça s’alourdit. De même que le parallèle avec le magicien d’Oz au début est bien vu il finit par être pesant.

Malgré ces petits défaut un des meilleurs bouquin de la rentrée pour le moment.