LE CHEMISIER (Bastien Vivès)

Vives a fait de tout, que ce soit du style blog avec La famille ou la boucherie, de la romance avec le gout du chlore, du plus profond (son meilleur) avec Polina, ou encore un pur mélange SF/HF avec LastMan et ce qui fonctionne à mort c’est son cul (Petit Paul, Décharge Mentale, une soeur, le Chemisier)

En gros ce qu’il vend le plus c’est son cul intello et vous vous étonnez que ça fonctionne ?

Maintenant pour ma part je suis comme Vinch, certaines de ses BD comme le gout du chlore, Polina sont touchante et presse une corde sensible chez moi. LastMan par contre c’est du pur jouissif et ça fonctionne à mort.

Encéphalorectalite ?

Alors que pour moi, ce serait plutôt un repoussoir…

Tori.

Ah oui, tiens, les couv’ ne m’ont jamais donné envie.

Pareil, jamais été attiré par Last Man, visuellement ça ne me plait pas du tout

Idem pour « Last Man », je ne suis jamais allé plus loin que la couverture…

j’aime bien Last Man
mais si Le Chemisier est considéré comme étant du cul on peut aussi y classer énormément de titres.
c’est peut être plus cru dans ce cas précis mais t’as plus de cul chez Marini par exemple et je ne pense pas que l’on dise qu’il en fasse

Que vous n’aimiez pas c’est votre droit, que la série cartonne reste un fait, malgré le fait que vous ne soyez pas attiré.

Du cul intello oui, l’histoire n’est qu’un prétexte pour voir une nana se faire brancher.

Oui c’est carrément plus cru et oui dans Marini il y a du cul, mais c’est deux trois cases par ci par-là dans son histoire. Dans le chemisier Vivès construit une histoire qui pourrait être intéressante et n’y met que du cul dedans. C’est pas Petit Paul qui serait un film X, là on est plus sur du téléfilm du dimanche soir sur M6.

Dans mon cas, je répondais plus à la première partie de ta phrase. Je n’ai pas contesté les chiffres de vente.

Euh à vrai dire, personne n’a dit que la série ne cartonnait pas… On partage juste le fait que ça ne nous attire pas.

Que je n’ai pas donné car je m’en souviens plus.

Vous partagez trop.

nan ce n’est pas vrai

si ça ce n’est n’y mettre que du cul…

enfin bon je ne vais pas insister
quand tu as trouvé un os tu es dans l"exagération à chaque fois :wink:

Je pense que KabFC parle de l’orientation du récit. Seul (ou quasiment) l’aspect attirance sexuelle du chemisier est mis en avant dans l’histoire alors qu’il aurait pu être intéressant d’exploiter d’autres thématiques (confiance en soi, etc…).
D’ailleurs dans le même post, il dit que dans le cas de cet ouvrage de Vivès on est plutôt du côté du côté du « téléfilm du dimanche soir sur M6 ». Les 30-40 ans comprendront! :grin:

si j’ai bien compris
et donc « n’y met que du cul » est donc bien grandement exagéré

Et bien pas pour moi. L’hyper sexualisation du personnage est du cul, pas besoin de voir une bite et une chatte pour voir du cul.

Quand je te dis que ce bouquin ressemble aux téléfilms le dimanche soir sur M6 c’est pas pour rien, car c’est exactement ça.

Après peut-être n’as-tu pas saisi la référence ?

C’est formidable ton explication sert mon propos et ma comparaison avec Marini.
Pas de bite ni chatte à chaque page mais des cohortes de nanas ou de mecs hypersexualisé donc du cul comme tu le démontres.
Enfin bref ce n’est pas grave

Je comprends pas ton propos ni ta comparaison avec Marini. Sur ce que j’ai lu de lui il n’y en a pas toujours (son Batman, 3 cases dans Gipsy qui servent à montrer le personnages comme un mal dominant) J’en ai vu dans le dernier Scorpion, mais Marini n’est pas le scénariste de la série.

Après si tu as aimé le chemisier tant mieux.
En soit vives j’y jette toujours un oeil, j’aime son style graphique et souvent ses histoires me parlent et le cul fait partie de ses marottes (il le dit lui-même).

Je trouve l amorce de l histoire plutôt intéressante. Le désir qui s eveille du fait du désir porté sur soi. Y a de quoi faire quelque chose d interessant.

Bon, les retours n.ont pas trop l air d aller dans ce sens, sans pour autant me convaincre que ca ne pourrait définitivement pas me plaire.

Réédition dans le cadre d’une « opération romans graphiques » :

Le Chemisier (Op roman graphique)

Etudiante en Lettres, Séverine n’est ni brillante ni médiocre, ni belle ni laide. La jeune femme coule une existence banale, sans éclat mais sans drame, aux côtés d’un compagnon qui lui prête moins d’attention qu’à ses jeux vidéo. Mais sa vie bascule inexplicablement lorsqu’elle enfile un chemisier en soie qu’on lui a prêté. Du jour au lendemain, les hommes posent sur elle un regard différent, qui lui permet de se sentir davantage en confiance, et de reprendre en main son destin…

  • Éditeur ‏ : ‎ CASTERMAN (25 mai 2022)
  • Langue ‏ : ‎ Français
  • Broché ‏ : ‎ 208 pages
  • ISBN-10 ‏ : ‎ 2203232595
  • ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2203232594