LE COURANT D'AIR - Catherine Ryan Howard (L'Archipel)

  • Éditeur ‏ : ‎ L’Archipel
  • Date de publication ‏ : ‎ 15 mai 2025
  • Traduit par Sebastian Danchin
  • Langue ‏ : ‎ Français
  • Nombre de pages de l’édition imprimée ‏ : ‎ 340 pages

Eve Black vient de publier un true crime intitulé Le Courant d’air, du nom du serial killer qui vingt plus tôt a assassiné ses parents et sa petite sœur. Son objectif : démasquer et faire payer ce tueur jusque-là insaisissable… Par Catherine Ryan Howard, n°1 du suspense en Irlande, un roman au scénario habilement construit déjà publié dans vingt pays.

Une autrice n°1 des ventes de suspense en Irlande, un roman habilement construit.
" Ryan Howard réinvente le genre de manière surprenante.
Un tour de force ! " Publishers Weekly

Longtemps, Eve Black a été " La fille qui… ". La fille de 12 ans qui a réchappé au massacre des siens quand, dans la nuit du 4 octobre 2001, un serial killer s’est introduit dans le pavillon familial, tuant son père, sa mère et sa sœur cadette âgée de 7 ans. Les dernières victimes d’un tueur insaisissable surnommé Le Courant d’air.
Aujourd’hui, près de vingt ans après les faits, Eve Black est la femme qui vient de publier un true crime. Dans ce récit intitulé Le Courant d’air, elle relate la dizaine de crimes commis dans la région de Cork par ce tueur qui n’a jamais été inquiété.
Jim Doyle est agent de sécurité dans un supermarché lorsqu’au cours d’une ronde son regard est attiré par un livre. D’abord intrigué, Jim voit sa colère grandir à mesure qu’il commence sa lecture du Courant d’air. Puis la peur s’empare de lui. Eve serait-elle sur le point de le démasquer ?

" Pas étonnant que Catherine Ryan Howard soit n°1 des ventes de suspense en Irlande. Ses romans sont sans doute ce qui se fait de mieux en ce moment. " The Washington Post

Je suis en retard, je ne l’ai pas encore terminé, je suis dessus depuis quelques jours, c’est une petite merveille…
Je reviendrai en parler.

Traduit par Sebastian Danchin, Le Courant d’air (The Nothing Man) est disponible en librairie depuis le 15 mai dernier, aux éditions de l’Archipel.
Catherine Ryan Howard a déjà publié 8 romans. Celui-ci est son quatrième livre et le premier a être traduit chez nous.
C’est un livre incontournable et je vais tâcher de vous expliquer en quelques lignes.
Il nous raconte l’histoire d’Eve, unique survivante du meurtre de sa famille quand elle avait 12 ans.
À 32 ans, elle se décide à écrire sur le sujet et consacre un livre au tueur, surnommé le Courant d’air par les journalistes.
Tueur qui, à ce jour, n’a toujours pas été identifié.
Le livre s’ouvre avec le personnage de Jim Doyle, agent de sécurité dans une galerie commerciale, qui tombe sur le livre dans les rayonnages d’une librairie.
Il est particulièrement troublé par la sortie de ce livre, parce que le Courant d’air, c’est lui.
Il va se procurer un exemplaire du livre. Et c’est comme ça que la mécanique du livre se met en marche.
À chaque fois que Jim va ouvrir le livre, nous allons découvrir l’histoire d’Eve Black.
Quand il referme le livre, nous retournons au quotidien de Jim.
La tension montre pages après pages puisque l’on se demande si le livre contient des éléments susceptibles de remonter jusqu’à Jim.
C’est intrigant et palpitant de bout en bout.
Catherine Ryan Howard a trouvé l’angle idéal pour nous donner l’impression de lire un témoignage authentique.
Le Courant d’air est un thriller particulièrement efficace et je vous invite à vous ruer dessus !
Vivement le prochain.

Frédéric Fontès, www.4decouv.com

C’est vilain ça.
J’ai maintenant envie de connaître la fin.

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Ce nom me dit quelque chose.

Jim

Je ne le connais que comme traducteur mais il porte un sacré paquet de casquettes :

Sebastian Danchin est un écrivain et producteur de musique[1] né à Nancy, en Lorraine, en 1957.

Sa découverte des musiques populaires afro-américaines (blues, jazz, gospel, soul) au moment de l’enfance, par le biais des émissions de Sim Copans sur Radio France, l’incite à partir aux États-Unis où il est guitariste à Chicago[source secondaire souhaitée] au sein de diverses formations (Little Milton, Son Seals, Lacy Gibson, Junior Wells…) au cours de la seconde moitié des années 1970. Sa présence au quotidien dans le ghetto du South Side lui permet parallèlement de mener des recherches d’ethno-sociologie[source secondaire souhaitée] à la suite desquelles il rédige et soutient un doctorat d’état à son retour en France[source secondaire souhaitée].

À la suite d’un emploi de producteur à FR3 Lorraine de 1980 à 1982, il dirige la filiale française d’un éditeur suisse (1983-1984) avant d’intégrer la station de service public de Radio France Nancy en qualité de directeur des programmes (1985-1989)[source secondaire souhaitée].

Producteur indépendant, il signe plusieurs séries d’émissions pour le compte des Ateliers de Création de Radio France[2][source secondaire souhaitée].

Dans le même temps, Danchin publie divers ouvrages consacrés à la musique afro-américaine et entame une carrière de producteur pour le disque en prenant la direction du label Miss You (Bobby Few, Jean-Pierre Catoul, Steve Houben, Francis Lockwood). Sa carrière de directeur artistique prend son envol en 2000 par le biais de sa collaboration avec Jean-Jacques Milteau qu’il fait signer chez Universal Jazz.

Tout en continuant à travailler aux côtés de Milteau[3] comme avec divers artistes de blues et de soul (Mighty Mo Rodgers, Joe Louis Walker, Demi Evans), il publie une Encyclopédie du Rhythm & Blues et de la Soul (Fayard, 2002) qui fait depuis référence[source secondaire nécessaire], signe une étude consacrée à Elvis (Elvis Presley ou la revanche du Sud, Fayard, 2004), et prend la direction artistique du Nice Jazz Festival[réf. souhaitée] auprès de la productrice Viviane Sicnasi de 2001 à 2007. Il retrouve ainsi l’univers des festivals, connu au milieu des années 1970 à Nancy où il assurait la programmation des concerts blues et gospel
Programmateur des concerts de blues à la Cité de la Musique en 2005, il assure parallèlement la direction artistique du festival de blues de Sochaux (2005-2008), avant de prendre la direction artistique du Paris Jazz Festival auprès de Pierrette Devineau de 2009 à 2018[4], le tandem qu’il forme avec Pierrette Devineau [5] s’est enrichi en 2015 avec l’arrivée du fondateur de la manifestation, Franck Marchal. Il assure dans le même temps la présidence des Victoires du Jazz de 2014 à 2021[source secondaire souhaitée].

Historien, spécialiste du monde noir[6], Danchin a écrit dans les revues spécialisées (Living Blues, Soul Bag, Jazzman, Jazz News…) tout en publiant des ouvrages[7][source insuffisante]. Son expérience lui a permis de collaborer en tant que conseiller à la série The Blues de Martin Scorsese (2003)[source secondaire souhaitée] et d’écrire plusieurs documentaires pour la télévision[source secondaire souhaitée], en particulier une étude consacrée au premier Congrès des Artistes et Écrivains Noirs de 1956 intitulée Lumières noires (France 2, 2007), ou encore une étude de l’influence de l’Amérique sur la société française de l’après-guerre (La France Made in USA, Arte, 2007) en collaboration avec le réalisateur Bob Swaim.

Traducteur, il a adapté de l’américain plus de cent-dix romans.

Source : wikipedia

Pfff ben voila je suis convaincu

Son nom sur un livre est gage de qualité.

Top ma poule !

Ah mais c’est le but !

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C’est sans doute par ses activités sur Radio France, notamment France Inter, que je le connais.

Jim

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Oui… mais je te remercie pas quand même.

Vis ma vie.