« Je leur dirai… Je leur dirai, à tous, qui tu es vraiment… »
À l’aube de son seizième anniversaire, la jeune sorcière Sabrina Spellman se retrouve à la croisée des chemins, obligée de choisir entre un destin astral et une vie tranquille avec son petit-ami bien mortel, Harvey. Mais madame Satan, une ennemie mortelle de sa famille, fait son apparition à Greendale, les yeux rivés sur notre jeune sorcière… Sabrina est-elle capable de lui faire face, ou sa carrière de sorcière va-t-elle se terminer précipitamment – en même temps que ses études ?
Roberto Aguirre Sacasa et Robert Hack redonnent vie à la sorcière Sabrina issue du monde d’Archie Comics, et plongent l’adolescence dans ses retranchements les plus complexes et les plus occultes… À l’instar de Riverdale , l’univers de Sabrina a récemment été rebooté en série TV sur Netflix.
La série TV est plutôt sympathique de superbes décors et une histoire assez classique mais je me suis pris dedans.
Ce comics est parait-il superbe (perso j’adore ce style de dessins) et assez sombre. Bien content qu’il soit traduit
J’ai lu le premier tome d’Archie de Mark Waid, très sympathiques histoires d’ado très bien orchestrés et de même pour Betty et Véronica avec de magnifiques dessins…
Par contre j’ai pas lu ce comics de Sabrina, mais j’ai lu beaucoup de bonnes critiques de ce comics. Je connais pas son contenu, d’après se que j’ai compris c’est sombre et intelligemment écrit. Hâte de lire ça en avril…
Je pensais avoir commenté la série Chilling Adventures of Sabrina, mais en fait, non. J’ai lu les premiers numéros (j’en ai lu plus pour Afterlife with Archie), et j’aime bien. Il y a un fond lovecraftien à l’ensemble, avec des références à tiroirs, c’est plutôt pas mal. Je préfère, et de loin, le dessin de Francavilla à celui de Hack, mais les deux séries naviguent dans les mêmes eaux (en revanche, je ne sais pas si elles sont officiellement dans le même univers dans la perspective de se croiser éventuellement, ou s’il s’agit de deux déclinaisons alternatives, comme autant de « what if »), avec un fond horrifique mais une chouette construction des personnages : les dialogues sonnent plutôt justes, montrant comment le surgissement du fantastique impacte les protagonistes. La différence, me semble-t-il, dans le peu d’épisodes que j’ai lus, c’est que Sabrina est habituée au surnaturel, ce qui n’est pas le cas d’Archie et de ses potes, si bien que le décalage (et le sentiment de danger) m’a semblé plus grand dans Afterlife. Mais faut voir sur la durée.