Peter May à les Hébrides dans la peau et ça se sent.pour la seconde fois,après L’ile des Chasseurs D’oiseaux,sa très belle écriture anime Fin McLeod qui,après avoir quitté la police,revient sur l’île de Lewis.cette une histoire forte:aussi bien au niveau des liens entre les persos,les rapport à la religion,l’histoire des Homer dans les années 50 ou que sa manière d’aborder la maladie Alzheimer.
et une nouvelle fois le cadre majestueux des Hébrides imprègne et magnifie ce récit du début à la fin.