L'INCAL t.1-6 (Jodorowsky / Moebius)

Après, peut-être que tu peux être sensible à ce qui me rebute. Lis mes commentaires sur Final Incal (que je suis parvenu à relire, contrairement à L’Incal, qui me tombe toujours des mains). Mais pour la série mère, entre le symbolisme lourdingue, la psychologie à base de métaphores sexuels, l’humour gras et les trous de scénario, y a plein de choses qui me semblent foireuses.
Je crois que chez Jodorwsky, je n’aime que La Folle du Sacré-Cœur (qui place ses obsessions dans le monde réel, avec un personnage central qui est un décalque de lui-même, et ça a une saveur d’auto-dérision bienvenue), Bouncer (mais vraisemblablement à cause de l’influence de Boucq sur le récit) et quelques récits plus courts, genre Les Yeux du Chat. Mais dans l’ensemble, j’ai tendance à le fuir comme la peste : les trucs genre Aleph-Tau, le Lama Blanc, le Méta-Baron ou les Technopères, c’est catégoriquement niet : pas possible !

Jim