Scénario : Joshua Dysart
Dessin : Tomás Giorello
Couleurs : Diego Rodriguez
168 pages. ISBN : 978-2-37578-339-9
Scandinavie, 1er millénaire.
Issue d’une famille paysanne, la jeune Solveig est victime d’une crise de clairvoyance au cours de laquelle elle rencontre О́dinn.
Mais même pour une enfant-prophète, les mots du Père-de-Tout sont incompréhensibles.
En quête de réponses, elle part vers la montagne sacée, accompagnée par le vieux guerrier Olle et la Sorcièe Véléda.
Une saga épique et mystique, aux limites glaciales du monde viking,
jusqu’aux confins de l’esprit tourmenté de Solveig.
L’OEIL D’ODINN
25,00 €
Pas encore paru
Auteur : DYSART/GIORELLO
Editeur : BLISS
Distributeur : MAKASSAR
EAN : 9782375783399
Date de parution : Pas paru
Lu 1/4 pour le moment, je trouve la narration assez lourde, mais c’est très beau à l’intérieur, un beau bouquin en grand format comme ça, ça devrait plaire aux fans d’héroic fantasy.
Oui c’est très identifié au genre je trouve, ça aurait pu gagner en fluidité, Kab a raison sur ce point et il y a un flou entre le fantastique et le réalisme (un peu comme la série Viking par moment) jusqu’à un certain point
Tu n’as pas parlé de bonne ou mauvaise, tu as dit « lourde ». Moi, je n’aime pas Balzac, que je trouve affreusement très lourd, mais de quel droit pourrais-je dire que c’est mauvais (je te laisse la priorité sur les formulations lapidaires ).
Et je ne vais pas généraliser, parce que d’abord, j’en lis et en apprécie, sûrement pas autant que beaucoup ici (donc, je le dis avec humilité, mais taquinerie quand même), et parce qu’aussi, c’est pas le cas tout le temps. Mais cela dit, je trouve (sans généraliser, je le répète) que les narrations en heroic fantasy (ou en fantasy tout court ? Je maîtrise pas), quel que soit le medium, me paraissent moins fluides, plus démonstratives, moins rythmées, que dans d’autres genres.
Mais je t’avoue que c’est ton message qui a mis des mots sur ce que je ressentais pour ce genre.