Là il faut mettre combien ?
Je veux dire pour une personne ? C est pour un tome ou c est pour la totalité ?
ça dépend du format choisi (couv alternative ou pas, par exemple) et ça dépend si tu prends les deux tomes.
Le basique de chez basique : 56 euros pour avoir les deux tomes (28 par tome)
Je ne comprends pas la question.
Je pensais qu il y avait la possibilité de prendre un coffret avec la totalité de la série.
Ce n est pas le cas ?
Bah non. Comme dit plus haut, la collection entière fera environ 14 tomes, au moins (j’imagine la gueule du coffret 
)
ils vont publier au fil de l’eau. A coup de deux tomes, si je comprends bien. Et si le public suit, je suppose.
Et tu conseilles donc ?
Love & Rockets ?
J’en ai eu lu un paquet du Seuil et de Delcourt et j’adore. C’est une BD (enfin, une collection de BD plutôt, puisque les deux frangins ont chacun un univers respectif qui ne se croise pas du tout) que ma femme a également adoré. C’est assez addictif, à mon sens.
Ce n’est pas conseillé par de grands pontes uniquement pour le plaisir. C’est vraiment un titre hors norme, complètement à part en terme de contenu, mais aussi dans le projet éditorial.
Donc 56 euros pour deux tomes, ça le fait ?
De tête, c’était le prix des deux tomes du Seuil (ou pas loin). Et ça remonte à plus de quinze ans.
Bon, je vais me laisser tenter.
Parmi les nombreux noms prestigieux d’amoureux de l’œuvre des frères Hernandez se trouvent l’un des plus grands scénaristes/romanciers en la personne de Neil Gaiman.
Le créateur de Sandman s’est en effet confié en disant ceci : « Je ne comprends pas vraiment pourquoi Love and Rockets n’est pas considéré comme étant l’une des meilleures fictions des trente cinq dernières années. Parce que c’est le cas. »
Quelques planches :
J ai pris le duo essentiel
Merci pour les encouragements.
Bah de rien.
J’ai hésité à participer parce que j’en ai pas mal, mais le côté édition dans l’ordre logique et intégralité de l’oeuvre ont fini par me convaincre.
(et puis y a du contenu éditorial en plus, et je suis curieux de le lire)
Ça ne m’a jamais attiré, bizarrement, L&R.
Tori.
Non plus
J ai souvent hésité, le prestige de la série etant important.
Et ce soir…
Je me demande si ce n’'est pas un de mes premiers titres indé. Je ne sais plus s’ils en parlaient dans Scarce, le spécial indé.
C’est marrant l’argument « une référence en termes de représentation LGBT »… J’ai découvert la série à la fin des années 1980 avec les quelques éditions de l’époque, puis en VO, et je ne suis pas sûr que l’expression « LGBT » ait existé à l’époque. Donc l’anachronisme ne fait peur à personne. Et ensuite (et surtout), j’ai toujours eu l’impression que les personnages ne défendaient aucun discours : ils sont comme ça, c’est tout, et les auteurs les décrivent, les mettent en scène et les font parler au même titre que tous les autres personnages. Toute proportion gardée, j’ai eu à l’époque la même impression (ou absence d’impression, justement) que j’ai ressentie devant certaines séries britanniques, où l’on croise des couples homos et puis voilà, ce sont des couples homos, y a rien d’autre à en dire, c’est comme ça. Bien sûr, mes lectures remontent à loin et en proportion de la masse que représente la série, je n’ai pas lu grand-chose, mais je n’ai jamais eu l’impression d’un quelconque militantisme. C’est plutôt une galerie de portrait, une peinture de société.
Jim