MARAUDERS #1-27 (Gerry Duggan / Lolli, Caselli)

C’est rigolo, j’ai un avis complètement opposé. :slight_smile:
J’aime bien cette série. Ce #2 suit le ton léger et fun du #1, qui m’a emballé. J’ai particulièrement apprécié le fait que Gerry Duggan instaure ici deux ambiances, entre le combat délirant contre Batroc et la tension de la discussion Emma Frost/Sebastian Shaw. Ces derniers s’écharpent pour l’identité du Monarque Rouge, 3e membre de la Hellfire Corporation et surtout 3e membre du gouvernement de Krakoa.
Je n’ai pas vu venir la révélation finale sur l’identité de ce 3e membre, déjà choisi par une Emma bien manipulatrice. J’apprécie le style détaillé de Matteo Lolli, dont les planches me semblent positives et sympathiques.
Mais ça reste un épisode d’annonce, qui ne « tient » que pour son final. C’est une lecture sympathique, je suis curieux de voir la suite dans cette série qui redistribue habilement les cartes du Hellfire Club.

Ça ne m’a pas échappé :sweat_smile: mais je n’en pense pas moins (hélas :roll_eyes: ).

Il me semble pourtant que c’était déjà dit dans le numéro précédent, non ? (J’ai la flemme d’aller relire pour vérifier.) Sans parler de la couverture même du numéro.

Non, ça ne me dit rien sur le #1. Ce mystère relevait juste de HoXPoX jusque-là.

Et ceux intéressés par un avis plus long et précis, je me permets de vous proposer ce lien : https://topcomics.fr/marauders-n2-les-x-men-pirates-decouvrent-le-nouveau-monarque-du-club-des-damnes . :slight_smile:

GERRY DUGGAN (W) • MICHELE BANDINI (A)
Cover by RUSSELL DAUTERMAN
VARIANT COVER BY JEEHYUNG LEE
SALT WATER & HELLFIRE! THE NEW BLACK BISHOP OF THE HELLFIRE CLUB!
Sebastian Shaw recruits a new Black Bishop continuing with his machinations against the two Queens of the Hellfire Club! Meanwhile, Captain Kate and her Marauders wreak havoc on the high seas from the Atlantic to the Pacific in the name of the mutant cause!
32 PGS./Rated T+ …$3.99

Source : www.newsarama.com

Changement de dessinateur pour ce #3. On ne voit presque pas la différence, hélas.

Il y a en revanche du nouveau côté scénar’. Duggan introduit des choses, et honnêtement il y a bien là un concept ou deux que je trouve cool, dans l’absolu (les cultes, notamment).

Alors comment se fait-il que je trouve ça aussi ch****? :sleeping:

Ça parle, ça parle, ça parle. Les trois quarts du numéro sont un quasi-monologue de Sebastian Shaw en mode « exposition ». Et Duggan n’étant pas vraiment un grand styliste…

À noter que le numéro présente un Xavier debout sous son casque, alors que sa résurrection n’a pas encore été actée dans X-Force (ou ailleurs). Premier bug de continuité de l’ère Dawn of X ?

(tu trouves que Victor n’est pas trop présent, ces derniers temps ?)

Moi ça m’a bien plu. :slight_smile:

J’ai l’impression que ce passage avec Xavier est un flash back… C’est vrai qu’il n’y a pas d’indication à ce moment là mais il y a un Now plus loin et vu que Shaw s’interroge sur la fiabilité du processus on peut penser qu’il en était à ses débuts.

Sebastian Shaw recruits a new Black Bishop continuing with his machinations against the two Queens of the Hellfire Club! Meanwhile, Captain Kate and her Marauders wreak havoc on the high seas from the Atlantic to the Pacific in the name of the mutant cause!

Writer
Gerry Duggan
Illustrator
Lucas Werneck
Cover Illustrator
Russell Dauterman
Release Date: December 18, 2019

Source : www.comicscontinuum.com

Voilà l’explication de la fonte des glaciers !

En tout cas pas il y a 10 jours :wink:

Bien ce qui me semblait …

C’est sympa’.
Gerry Duggan reprend sa saga après la parenthèse sur les Shaw, et ça continue bien. Le bateau vient aider des Mutants du Brésil, Pyro fait le fanfaron, Storm maltraite les soldats arrogants. Kitty, pardon Kate, enquête avec Bishop sur le fameux mari asiatique enlevé et qui est utilisé par sa femme riche pour critiquer les Mutants. Sauf que ce type est en fait gardé enfermé par sa femme, car il fait partie d’une secte qui vénère les X-Men. Kate et Bishop le libèrent, humilient sa femme en le montrant, et repartent. Ils découvrent que des Humaines modifiées ressemblent à Lady Deathstrike, et Beast conseille à Bishop de devenir l’allié de Kate dans la Hellfire Corporation. Ho, et la femme asiatique humiliée va demander de l’aide au Hellfire Club des gamins, qui entendent bien reprendre le nom… et se venger des Mutants.
C’est sympa’, oui. Gerry Duggan amène bien ces éléments, et je suis intéressé par Kate dans la Hellfire Corporation, mais aussi ses troupes ; ça fonctionne bien. Les subplots sont encore légers, mais l’ensemble a une certaine « gueule ». Je trouve que ça a du sens, que ça a une belle dynamique, et les Marauders ont une mission et une place qui sonnent justes, et me plaisent bien. Dommage que Gerry Duggan se perde parfois dans de l’humour débile, avec un Pyro trop con-con et surtout les rapports américains en annexes qui sont un peu trop délirants.
Lucas Werneck illustre ça joliment, dans un style très proche de Matteo Lolli. C’est rond, assez beau, dynamique ; efficace, et dans les traits que j’aime bien. Pas grand-chose d’autre à dire, la série me plaît, je suis curieux de voir la suite.

MARAUDERS #5

Written by: Gerry Duggan.

Art by: Matteo Lolli.

Cover by: Russell Dauterman.

Description: The Marauders are caught between the forces of Madripoor and the Black King’s machinations! Thankfully, they have two Omega Level mutants onboard.

Pages: 32.

Price: $3.99.

In stores: Jan. 1.

Source : www.comicscontinuum.com

Bon, sans plus.
Gerry Duggan poursuit sa saga, en surfant sur les subplots préparés jusque-là. La Hellfire Trading Company est clairement un champ de batailles entre le Black King Sebastian Shaw et son fils Shinobi d’un côté, et les White & Red Queens de l’autre ; alliées et complices. L’amitié franche entre Emma Frost et Kate Pryde surprend, mais bon c’est assez drôle à lire.
Iceberg drague Christian Frost, et les Marauders sont appelés à Madripoor, car le bateau de Shinobi est attaqué. Storm et Bishop y vont par portails, mais sont pris à partie par des types en super-armures. Tout ça est l’oeuvre de Homines Verdi, organisation pro-humaine dirigée par les gamins du Hellfire Club de Jason Aaron. Un groupe attaque d’ailleurs le Marauder, le bateau qui filait vers Madripoor, avec il me semble des nouvelles versions (ou pas) du Bourreau.
C’est bien, oui. Gerry Duggan maîtrise bien sa géopolitique du Hellfire, et les interactions sont toujours bonnes. On sent bien que Sebastian Shaw prépare quelque chose, et le retour des sales gamins de Wolverine and the X-Men est cool. Mais je tique quand même sur l’amitié franche Emma/Kate, même si Gerry Duggan livre deux bons portraits des personnages. Et voir Storm attaquer brutalement un ennemi (couteau dans l’oeil, directement ; et elle veut récupérer le couteau, il est en vibranium), j’avoue que ça me choque un peu.
Bon, ça reste agréable et bien fait. Dommage que Matteo Lolli soit à l’arrache, livrant des planches précipitées. Lucas Werneck l’aide, dans un style plus tranché, efficace mais qui se voit. Le graphisme demeure lisible, mais ce n’est plus aussi beau qu’au début ; déjà.

Tu parles bien de la reine blanche? Si oui, je pense que je vais tiquer aussi, car quand je te lis je repense à ça

Oui, oui, ce sont bien elles.
Bon, ça se tire dans les pattes dans le #1, hein, mais maintenant qu’Emma a révélé qu’elle en a fait la Red Queen, elles sont très proches.

The Marauders are caught between the forces of Madripoor and the Black King’s machinations! Thankfully, they have TWO Omega Level mutants onboard…

Writer Gerry Duggan
Illustrator Matteo Lolli
Cover Illustrator Russell Dauterman
Release Date: January 22, 2020

Source : www.adventuresinpoortaste.com

Bon, c’est sympa’, mais ça ronronne. Gerry Duggan essaye de bien faire monter la pression, hein, sur l’attaque de Sebastian Shaw sur Kitty « Capt’n Kate » Pryde, mais qui croit au cliffhanger ? (Shaw « piège » Kitty pour la noyer, persuadé que Kitty ne pourra pas être ramenée du fait de ses difficultés à aller sur Krakoa) Ca se lit bien, même si Iceberg est (encore une fois) traité comme un rigolo. Et Storm est trop peu prégnante. Mais bon, ça se lit bien, Matteo Lolli gère bien. Ca cale un peu, quoi, mais ça reste plaisant.