MEN OF WRATH #1-5 (Jason Aaron / Ron Garney)

Le scénariste Jason Aaron retrouve le dessinateur/encreur Ron Garney (Get Mystique, Wolverine: Weapon X, Ultimate Captain America, Thor: Gods of Thunder) sur Men of Wrath, une nouvelle mini-série « Creator Owned » (la première pour Garney en plus de 20 ans de carrière) qui sera publiée sous le label Icon de Marvel Comics.
Cette histoire en cinq chapitres raconte l’histoire du tueur à gage Ira Rath et des difficultés familiales qui l’ont amené à devenir l’homme violent qu’il est aujourd’hui.

Si le succès est au rendez-vous, cette première mini-série pourrait être suivie d’une deuxième, probablement titrée « Women of Wrath ». Men of Wrath #1 sortira en octobre.

[quote=« Ron Garney »]I really don’t enjoy working with Jason at all. He’s kind of an asshole. [Laughs] I’m just kidding. I’m getting him back for an interview he gave about me many years ago.

When I read the stuff that Jason comes up with, or he tells me about it on the phone, or whatever, I can instantly connect to it. Whereas some other scripts take me a little time to get my head around them. I felt like that with one of the projects I did last year; that my head wasn’t quite where it needed to be, but with Jason’s stuff I connect with it right away for some reason.[/quote]

[size=150]INTERVIEW DE JASON AARON ET RON GARNEY[/size]

Lien
Le site de l’éditeur: marvel.com

Alléchant !

Tiens, chez Icon ? Surprenant ! J’achète en tout cas.

Source: www.comicbookresources.com

Voici la couverture variante de Men of Wrath #2 par R.M. Guera:

Source: www.comicbookresources.com

Voici trois pages de Men of Wrath #3 :

http://imageshack.com/a/img540/9572/jKl2JY.jpg

Source: comicbookresources.com

Source: www.omicbookresources.com

Source: www.comicbookresources.com

http://imageshack.com/a/img661/6642/9pomqe.jpg

Source: www.comicbookresources.com

Je l’avais lu en VF et j’avais trouvé ça sympa mais violent. Je viens de le relire en VO et mon avis n’a pas réellement changé. C’est chouette graphiquement, c’est bien raconté, avec un sens évident des transitions de scène à scène, des alternances de séquences, des ellipses… Mais c’est quand même éminemment bas du front (mention spéciale à la fusillade dans l’église, complètement gratuite) et bourrin. Heureusement qu’il y a Garney, et même lui a ses moments un peu mou.
La dernière scène est très bien, mais il faut passer par un déluge de violence gratuite et de caractérisation à la truelle pour en arriver là.

Jim

De mémoire, c’était juste sympathique oui. Une sorte d’exercice de style au service de Garney.
Un récit oubliable dans la carrière du scénariste