METANOÏDE (David Boriau / Nuno Plati)

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Metanoïde

« La découverte du siècle est un accident ! »

Condamné à passer le reste de ses jours en fauteuil roulant, le jeune Josh s’évade à travers les merveilles de la science. Et avec son ami Jorgen, scientifique illuminé du quartier, ils ont une passion : observer les étoiles en quête d’une forme de vie extraterrestre. Jusqu’au jour où l’impensable se produit lorsqu’ils captent la réponse à un signal émis par Jorgen 20 ans auparavant. C’est la découverte du siècle : les aliens existent donc bel et bien ! Reste à savoir comment l’oncle de Josh, sheriff irascible du comté, sa femme qui ne jure que par les miracles de Jésus et le reste de leur petite communauté au moins aussi ouverte d’esprit vont accueillir la nouvelle. Alors que le signal se fait de plus en plus intense, une collision semble inéluctable entre eux et cette forme de vie venue d’ailleurs. Une collision qui va changer la vie de Josh à tout jamais.

David Boriau et Nuno Plati revisitent le thème de la rencontre du troisième type et nous racontent comment le destin d’un jeune garçon handicapé va être bouleversé par sa rencontre avec un ailleurs. Un récit initiatique et touchant sur la nécessité de croire en ses rêves malgré le poids des liens communautaires.

cénariste

David Boriau

Dessinateur

Nuno Plati

Parution :

06.11.2019

Collection :

Log-In

Qui est donc destinée, dixit Glénat, aux 12-25 ans.
J’ai du mal vraiment à imaginer que l’on puisse trouver des dénominateurs communs à des lecteurs aussi différents qu’un enfant de douze ans et un adulte de 25. Sans compter l’obsession éditoriale voulant qu’il faille que le héros ait l’âge de son (ses) lecteur(s).

Jim

Des comics de super-héros ?:crazy_face::heart_eyes::yum:

Quand j’avais douze ans, je lisais des comics de super-héros. Et des romans de SF.
Quand j’avais vingt-cinq, je lisais des comics de super-héros. Et des romans de SF.
Aujourd’hui, je lis des comics de super-héros. Et des romans de SF.

Mais pas les mêmes. Et autour de ces deux constantes, il y a tellement de choses qui diffèrent. Ne serait-ce que ma compréhension.

(Et un détail en plus : je n’ai jamais aimé les produits que l’on destinait à mon âge, et encore moins les histoires d’adolescents. Gamin, j’aimais que mes héros soient plus vieux que moi, burinés et couverts de cicatrices. J’aimais Zorro, Albator ou Indiana Jones.)

Jim

C’est pour ça qu’aujourd’hui tu raffoles des comic books à 10 euros de chez Urban ?

Voilà. Je suis en plein décalage.

Jim

Jim c’est benjamin Button.