MISTER SIXTIES (Robert Crumb)

Discutez de Mister sixties

Gros pourvoyeur d’album, chez Cornelius !

Oui, je m’en rends compte en mettant les couvertures sur le premier post. Impressionnant.

Jim

Disons qu’en mettant ce message, si je me souviens bien, c’était une manière de demander une section pour eux.

Oh, c’était trop subtil pour moi, ça…
Bon, ça doit pouvoir s’arranger. Tu m’aideras à la remplir…

Jim

Ouaip !

Hop, section ouverte, je suis en train de déplacer les crumberies.

Jim

Super, merci !

J’ai fait le transfert de ce que j’ai trouvé en cherchant le mot « cornélius ». Après, il en reste peut-être, bien entendu…

Jim

Evidemment. On fera la remarque, si l’occasion se présente.

Monsieur est un prince.

Jim

ça faisait longtemps que je ne m’étais pas fait un petit Crumb et je dois avouer que celui-ci m’a particulièrement plu.
Je ne sais pas pourquoi, mais j’avais en tête des histoires assez courtes, comme on peut avoir au début de cet opus, mais rapidement, Crumb fournit comme des « épisodes » de certains de ses persos, avec pas mal de pages à chaque fois (pour du Crumb). Tout d’abord avec Lenore Goldberg and her girl commandos (eh eh eh), qui nous offrent quelques séquences pas piquées des hannetons. Ensuite, plus casanier avec Honey Bunch Kaminsky (la fameuse cité dans le lien de Jim) et ProJunior, avec des réflexions sur la vie.
Et un épisode bien plus long que les autres avec Whiteman meets Bigfoot. Je ne sais pas trop quel message voulait faire passer Crumb (ça existait la crise de la quarantaine, à l’époque ?), mais j’ai trouvé ça assez rigolo.
Et entre tout ça, quelques mini-épisodes, où le Mister Sixties prend également bien son sens, autour des hippies et certaines de leurs attitudes et schémas de pensée.
Ah, et j’aime bien le pastiche de romance comics aussi.

Graphiquement, c’est intéressant car il y a quelques périodes qui se chevauchent dans cette anthologie, et il y a même un peu de Zap Comix #0, ce qui permet de voir son évolution.

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