Démétrios, dans son petit village de la Grèce du 4e siècle avant notre ère, n’aspire qu’à une chose : vivre de son métier de peintre sur céramique. Et, peut-être, ravir le coeur de la belle Apollonia, la fille du patriarche…
Le destin en décide autrement : le voici chargé de sauver son village des appétits guerriers de la cité voisine ! Alors qu’il se lamente sur son sort, la foudre frappe. Lorsqu’il reprend ses esprits, Démétrios a été projeté à travers le temps et l’espace dans le Tokyo de 1964, au moment des Jeux olympiques !
Tome 2
Prix : 8,45 €
EAN : 9782203203006
Date de parution : 16/06/2021
Tori.
Zut, je n’aurais pas dû lire l’article : je me suis fais spoiler le tome 2 (que je n’ai pas reçu T__T) !
Tori.
Si vous savez lire le grec, il y a des textes rigolos (en pseudo-grec : c’est du français écrit en grec) sur les couvertures… Sur ce tome 2, par exemple, on peut lire « Nourrissez-vous de toutes les cultures ».
Sur le premier, il y avait « Pourquoi il est à poil lui »
Merci à Casterman d’avoir pensé à les traduire !
Tori.
Tome 3
Prix : 8,45 €
EAN : 9782203203167
Date de parution : 22/09/2021
Tori.
Olympia Kyklos (6)
Démétrios cherche un moyen de redonner vie à sa cité natale, plongée dans la misère après l’organisation hasardeuse d’olympiades qui ont tourné au fiasco. Sa rencontre avec le Kabuki dans le Japon contemporain pourrait-elle lui donner les outils pour faire face à l’absurdité de l’existence ? Cette fois encore, le jeune athlète et peintre sur céramiques trouvera-t-il des réponses dans cette nouvelle forme d’expression de soi ?
- Éditeur : CASTERMAN (14 février 2024)
- Langue : Français
- Broché : 192 pages
- ISBN-10 : 2203240156
- ISBN-13 : 978-2203240155
- Poids de l’article : 208 g
- Dimensions : 13.1 x 1.6 x 17.9 cm
Olympia Kyklos (7)
Un nouveau péril menace la cité de Démétrios. Cette fois, c’est une épidémie qui menace de décimer Tritona ! Alors que ses concitoyens sont au plus mal, Démétrios est sommé une fois de plus par le patriarche de trouver une idée qui sauvera les siens. Sport, manga, théâtre, musique : au gré de ses allers-retours avec l’époque contemporaine, le jeune peintre sur céramiques a déjà prouvé les vertus de l’expression de soi sous bien des formes. Saura-t-il relever cet ultime défi alors qu’il atterrit dans un Japon en pleine pandémie de Covid ? Et si un autre voyageur temporel lui apportait un concours inespéré ?
- Éditeur : CASTERMAN; Illustrated édition (30 octobre 2024)
- Langue : Français
- Broché : 208 pages
- ISBN-10 : 220324030X
- ISBN-13 : 978-2203240308
- Poids de l’article : 210 g
- Dimensions : 13.2 x 1.7 x 18.1 cm
Tiens, je découvre la couverture de l’édition italienne. Et je constate que la police utilisée pour le titre n’est pas la même. Et qu’elle est vachement mieux et plus en lien avec le sujet dans la version transalpine.
Y a vraiment un souci avec la typographie, en France : on a peur que les gens ne sachent pas déchiffrer ?
Jim
Le problème de compétence ne vient peut être pas des lecteurs, pour une fois…
Enfin, je dis ça, …
Le visuel est plus proche du visuel japonais, aussi, dans sa mise en page (et les textes en grec sont les mêmes sur la version japonaise et la version italienne, alors qu’ils sont modifiés sur la version française) :
On dirait : sur le manga Claymore, déjà, Glénat avait changé la graphie du titre en cours de route :
Tori.
Ça me rappelle une anecdote concernant un jeu de mot sur une traduction fournie par un copain (donc pas du lettrage, mais l’idée est la même). L’éditeur a supprimé le jeu de mots sous prétexte que les lecteurs penseraient à une faute d’orthographe.
J’ai l’impression que les éditeurs français prennent les lecteurs pour plus bêtes qu’ils ne sont.
J’ai vu ça aussi : j’ai vraiment du mal à comprendre.
C’est vraiment triste.
Et consternant.
Jim
Sur les tomes japonais et italiens, ce sont des textes en grec. Sur les tomes français, ce sont des phrases en français, mais transcrites dans l’alphabet grec. Détail qui passe au-dessus de la plupart des gens… et qui est un ajout à la traduction, puisqu’absent de la VO !
Tori.
J’ai vraiment du mal à comprendre l’intérêt de tout cela.
Quelle est la pensée éditoriale derrière tout cela ?
Jim