Three legendary warriors, a Viking mother seeking vengeance, a ninja fighting his samurai brother, and a WWII pilot facing cosmic horrors - become prey to an unstoppable hunter of killers.
Animation/Science-fiction/aventures Long métrage américain Réalisé par Dan Trachtenberg (Predator : Prey et le futur Predator : Badlands) et Joshua Wassung Scénarisé par Dan Trachtenberg et Micho Rutare Voix V.O. : Michael Biehn, Rick Gonzalez, Louis Ozawa… Année de production : 2025 Diffusion le 6 juin 2025 sur Hulu/Disney +
Disponible depuis hier sur Disney +, je viens de le regarder.
C’est vraiment pas mal.
Mon seul soucis, c’est l’animation avec un côté saccadé qui ne me plait pas des masses.
Sinon, c’est assez ingénieux.
Évidemment, c’est blindé d’easter eggs, dont un paquet m’échappe :
un pistolet avec platine à silex, comme celui offert à Harrigan par son adversaire dans Predator 2. Il me semble que dans les BD, ce pistolet avait déjà eu droit à des origines spécifiques. Peut-être que sa présence ici permet de situer KOK avant Predator 2.
Le Warlord Predator se ballade avec une armure fabriquée à base de queue d’Aliens. Je viens de voir une vidéo qui annonce déjà que la cage thoracique est celle d’une reine Alien.
Évidemment, présence de l’héroïne de Prey à la fin.
Et il me semble que c’est la musique d’Alien que l’on entend pendant cette dernière séquence avec les sarcophages.
Je vais farfouiller pour voir les autres références. Apparemment, il y aurait un squelette géant de facehugger.
Edit 20h52 :
Donc, si l’on se base sur ce qu’il se passe dans KOK, les vainqueurs sont enlevés par les Predators et emmenés sur leur planète d’origine. Donc Dutch et Harrigan s’y sont retrouvés à un moment, rapidement après leurs « victoires » respectives. Ça pourrait expliquer la présence du flingue à silex. Sont-ils vivants ? Dans les sarcophages ?
Edit 20h57 :
J’avais complètement oublié la fin de Prey…
L’héroïne entre en possession de ce fameux pistolet avec la mention « Raphael Adolini 1715 ». Voilà donc d’où il vient pour KOK ?
Le style graphique particulier de Predator : Killer of Killers a divisé, c’était prévisible. Certains le trouvent efficace, d’autres parlent d’un rendu hideux. Perso, je n’irais pas jusque là, la fluidité est parfois problématique dans certains mouvements et l’expressivité des personnages humains mais dans l’ensemble il n’y a rien de moche à mes yeux, ça se tient et ça s’adapte bien à chaque période visitée.
J’ai apprécié la construction de l’ensemble, les scènes d’action nerveuses et gores (bonne idée de limiter les dialogues pour se concentrer sur les mouvements dans l’épisode japonais) et la variété des designs des différents chasseurs extraterrestres. Le fil rouge m’a intrigué avant la révélation du dernier acte. Un ultime combat mouvementé qui utilise pleinement les parcours respectifs des trois protagonistes, leurs talents au combat, avec une dynamique d’équipe intéressante qui leur permet d’oublier leurs problèmes de communication face à un ennemi commun.
La dernière scène soulève quelques questions. Est-ce que les auteurs y répondront par la suite ? Wait and see…
C’était vachement bien !
Les 3 segments sont bien diversifiés avec du classique pour la viking, un focus sur le mouvement et sans paroles inutiles pour le japonais, et plein de surprises pour celui sur Torres.
Finalement le dernier segment est peut-être le moins intéressant et on a du mal à croire à une survie possible.
J’ai bien aimé la diversité des armes proposées, les Predator sont toujours salement équipés, ces enf…
En tout cas, je préfère une suite en bon dessin animé qu’un mauvais film bourré de CGI.
Un ajout : il y a de sacrées plans dans chaque segment !
